Quand j'étais môme, rien ne m'était plus pénible que souhaiter la bonne année.
D'abord, devais-je embrasser les hommes ? Bise ou poignée de main ?
Parmi les femmes que je devais baiser, combien méritaient d'une manière ou de l'autre, désir ou devoir, que je les baisasse ?
Bref... une fois par an, heureusement pas plus, le nouvel an était une corvée parasitaire qui me gâchait la fête...
Après quoi venait la fête de rois et l'obligation de choisir en raison de la fève qu'on vous avait sournoisement refilée, entre la tante velue et les autres femelles attitrées, sans faire la moindre peine. Si vous saviez le nombre de fèves que j'ai avalées pour me soustraire à ce dilemme...
07 janvier, 2013
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1 commentaire:
Je me souviens aussi de ces "obligations", devoir s'approcher pour saluer, pour embrasser certains adultes, les hommes avec de gros poils au nez ou d'autres sortant des oreilles, avec leurs joues couperosées, les femmes avec d'horribles duvets noirs et moustachus, leur impossibles parfums, les fards gluants. Et ces haleines parfois...!
La pire, pour ma soeur et moi, était "Tata Henriette" (appelation d'origine : Issoudin) avec sa bosse dans le dos et sa putain de verrue noire avec les deux longs poils qui croissaient dessus !
En plus, il fallait souvent se hisser sur la pointe des pieds pour embrasser, en équilibre instable, ce qui nous obligeait à toucher des lèvres ou de la joue ce qu'on aurait préféré effleurer, si ce n'était éviter !
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