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décembre
(75)
4 commentaires:
C'était sans doute un petit film joué pour l'édification des masses. Ou plutôt des foules comme on disait...
Avec ce putain de curé qui mène le bal.
J'aime bien quand le chanteur précis évoque le froid ciseau qui coupe le col de sa chemise : ça résonne comme l'ultime humiliation, arracher le col de la chemise, c'est déjà faire mettre au détenu un pied ailleurs, hors de l'humanité vivante.
Je ne sais pas si ça t'est arrivé, mais du temps de la peine de mort, j'ai l'impression que chaque citoyen (enfant) réfléchissait à l'attitude qu'il adopterait s'il était condamné à mort ; moi en tout cas je ne m'imaginais jamais serein mais foutant un souk d'enfer pour vivre encore quelques minutes de plus, pour ne laisser aucune bonne conscience s'épanouir !
Je pensais que c'était Ranucci le dernier condamné, en plus on n'était pas sûr de sa culpabilité ! Mazette !
Mais il y en a eu deux autres après lui. Bigre ...
Cher pp,
Dans ma jeunesse, je l'écoutais chantée par Germaine Montero.J'étais toute petite(8-9 ans) et parmi toutes celles de l'abum c'était la chanson qui m'impressionnait le plus (avec le "ptit'es baraques" de Carco-couté ou Mac Orlan dites par Monique Morelli dans un autre disque) . Je ne comprenais pas toutes les paroles, loin de là, mais grâce à la diction impeccable et l'émotion sans pathos que faisait passer Germaine Montero, je saisis néanmoins tout. Rien ne pouvait justifier qu'on condamne à mort quelqu'un.
Angevine
Bruant avait des fulgurances dans la drôlerie comme dans le tragique. Il écrivait excellemment dans ces deux genres avec un sens incomparable de la prosodie.
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