Sans compter un dixième manifestant qui mourrut quelques temps plus tard des suites des blessures mortelles infligées volontairement par les flics de Papon. A l'époque il s'agissait pour les politiciens de droite et leur sbires d'extrême droite de tuer pour donner un exemple. C'était évidemment contre productif, comme lorsqu'on bat un enfant pour lui apprendre... La peine de mort n'était pourtant pas si loin d'être abolie par ce courageux Badinter. C'est à l'époque du Préfet Grimaud, le souci de ne pas faire de morts; en mai 1968. Petit à petit les flics chngèrent de stratégie : ne plus castagner en ciblant des individus mais en modifiant les mouvements et la circulation des foules. Pasqua réhabilita un temps les vieilles méthodes sur les "français d'origine étrangère" : Malik Oussekine, Makomé et deux trois autres dont j'ai perdu la mémoire des noms. (Noms que je retrouverai car j'écrivis une chanson pour garder la mémoire de ces jeunes qui ne sont hélas plus parmi nous)
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Sans compter un dixième manifestant qui mourrut quelques temps plus tard des suites des blessures mortelles infligées volontairement par les flics de Papon. A l'époque il s'agissait pour les politiciens de droite et leur sbires d'extrême droite de tuer pour donner un exemple.
C'était évidemment contre productif, comme lorsqu'on bat un enfant pour lui apprendre...
La peine de mort n'était pourtant pas si loin d'être abolie par ce courageux Badinter.
C'est à l'époque du Préfet Grimaud, le souci de ne pas faire de morts; en mai 1968. Petit à petit les flics chngèrent de stratégie : ne plus castagner en ciblant des individus mais en modifiant les mouvements et la circulation des foules.
Pasqua réhabilita un temps les vieilles méthodes sur les "français d'origine étrangère" : Malik Oussekine, Makomé et deux trois autres dont j'ai perdu la mémoire des noms. (Noms que je retrouverai car j'écrivis une chanson pour garder la mémoire de ces jeunes qui ne sont hélas plus parmi nous)
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