Leonard Bernstein n'est pas que l'auteur de comédies musicales distrayantes ou émouvantes, ou le remarquable "Candide", il est aussi l'auteur de cette chose extrêmement subversive... Ca s'appelle "Trouble in Tahiti" et c'est le rêve américain des années cinquante vu par l'étonnant Bernstein. C'est terrifiant... ( Il s'agit d'un film réalisé en 2000 d'après l'oeuvre originale)
12 février, 2011
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3 commentaires:
voila un film qui poourrait plaireà la droite! Sauf la musique, petu-être! Ethnocentrisme ("les autres de cette tribu sont immondes"), racisme social? classisme? Tyrannie du "bon goût". en attendant, ils s'engueulent mais ne se foutent pas sur la gueule et ne frappent pas els mômes...
Il faqut lr'analyser, la réaction mécanique par rapport à ce genre de chose...Et la comparer au regard colonial, par exemple, sur les "autres" qui ne vivent pas comme nous!
Etre "de gauche", quoi...
hors landau.
certes, je suis un peu excessif!Mais j'en ai marre...Oui, je l'avoue, c'est un peu personnel: j'ai été élevé par des gens obsessionnels des ostracismes, compulsif du "bon goût", méprisants voire malveillants.A chaque instant il y avait mépris, critique des "autres"...C'était l'activité principale et, de plus ça s'appliquait cruelllement à lmes origins, aux gens de ma famille de sang. Et ça m'a donné un refus des ostracismes sociaux! qui fo,nctionnent exactement comme les racismes.en plus la première méditation métaphysique nds eDescartes que m'a fait redécouvrir Elizabeth Badinter est ma règle de conduiçte: ne pas croire, ne as marcher..acte d'amour primordial
Ceci dit les bourgeois méprisent aussi les bourgeois: c'et la fore de la bourgeoisie et Chabrol l'a montré.D'une façon bourgeoise! Il s'est montré.
Vivel a consomation! vivent les pauvres:ils ont "mauvais goût"!
O lala !
Le but de Berstein, n'était, mais alors pas du tout, de tourner ses concitoyens en ridicule, au nom de cette prétendue tyrannie du bon goût...
Bernstein ne dit pas " regardez comme ils sont", mais "regardez ce que nous sommes !";
Il s'agit simplement de dire que derrière cette histoire de 1952 d'un couple d'une banalité affligeante se dessine le destin d'une Amérique sûre d'elle (le mari) , inquiète aussi, (la femme) et d'une violence invraisemblable derrière la libération qu'apporte la technique et derrière la bonne conscience. Violence et tension permanente derrière le barbecue et le toaster...
C'est tout sauf ridicule...
J'ai peur que vous n'ayez pas remarqué cette courte scène pendant laquelle cet honnête père de famille laisse sur la table quelques billets pour sa femme, comme il le ferait à une pute...
Bernstein annonçait dans ce cour opéra le "We are good" de Bush avant d'envahir l'Iraq...
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