Qu'est-ce qu'on peu bien encore piquer dans un pays d'Afrique une fois qu'on a raflé le pétrole, les minerais, les diams, l'ivoire, les essences rares ou quand ce pays n'a jamais eu la moindre de ces richesses, pas même une goutte d'eau ? On a deux possibilités qui bien que proches sur le fond, sont totalement indépendantes l'une de l'autre.
Premièrement, la voie légale et gouvernementale qui nous fait recruter les plus brillants sujets et les inviter à venir travailler en France pour le plus grand bien des entreprises en manque de cervelles fraîches.
Et puis la voie illégale, qui consiste à aller enlever des enfants pour pallier le déficit de tendresse de familles françaises en mal d'adoption. Cette seconde voie est toute nouvelle ; elle est tracée par de jeunes et modernes aventuriers et semblait jusqu'à ces derniers jours, somme toute moins risquée que la chasse au bonobo. Bon, ok, ils sont en taule... adieu la gloire ( les photographes étaient pourtant là...), adieu 4x4, adieu destin à la Kouchner, braconniers de la misère...
Cent-trois enfants, petit bétail, qu'ils allaient offrir, à l'ancan...
Cent-trois enfants prétendument darfouris orphelins dont on apprend en fait qu'ils sont tchadiens et qu'ils ont leurs parents, qu'on traite donc de ce fait comme de la viande en en masquant la "traçabilité". Cent-trois enfants dont le président du pays où ils vivent et d'où ces bons apôtres voulaient selon leurs propres termes les "exfiltrer" (sic !) utilisait pourtant, lui qui ce jour s'offusque, pour venir au pouvoir, des enfants soldats... Franchement était-ce la peine d'en rajouter ? Pendant ce temps, en France, de braves gens, généreux mais quand même un peu cons et qui ont cotisé, attendent encore peut-être ce petit darfouri qui, quasiment coché sur catalogue, les fit tant, mais en vain, rêver ...
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Premièrement, la voie légale et gouvernementale qui nous fait recruter les plus brillants sujets et les inviter à venir travailler en France pour le plus grand bien des entreprises en manque de cervelles fraîches.
Et puis la voie illégale, qui consiste à aller enlever des enfants pour pallier le déficit de tendresse de familles françaises en mal d'adoption. Cette seconde voie est toute nouvelle ; elle est tracée par de jeunes et modernes aventuriers et semblait jusqu'à ces derniers jours, somme toute moins risquée que la chasse au bonobo. Bon, ok, ils sont en taule... adieu la gloire ( les photographes étaient pourtant là...), adieu 4x4, adieu destin à la Kouchner, braconniers de la misère...
Cent-trois enfants, petit bétail, qu'ils allaient offrir, à l'ancan...
Cent-trois enfants prétendument darfouris orphelins dont on apprend en fait qu'ils sont tchadiens et qu'ils ont leurs parents, qu'on traite donc de ce fait comme de la viande en en masquant la "traçabilité". Cent-trois enfants dont le président du pays où ils vivent et d'où ces bons apôtres voulaient selon leurs propres termes les "exfiltrer" (sic !) utilisait pourtant, lui qui ce jour s'offusque, pour venir au pouvoir, des enfants soldats... Franchement était-ce la peine d'en rajouter ? Pendant ce temps, en France, de braves gens, généreux mais quand même un peu cons et qui ont cotisé, attendent encore peut-être ce petit darfouri qui, quasiment coché sur catalogue, les fit tant, mais en vain, rêver ...
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2 commentaires:
Cette histoire pousse à conclure que cette ONG est vraiment très co... Car soit elle est sincère et elle a été incapable de vérifier si les enfants étaient de véritables orphelins du Darfour, ce qui est grave. Soit elle savait qu'ils étaient Tchadiens et là, il n'y a plus d'excuses.
Personnellement je pencherai plutôt pour la première solution, ce qui devrait pousser le grand "démocrate" qu'est le président Tchadien à se demander qui leur à remis ces 103 enfants ? S'il y a réseau il est d'abord là-bas. Cela n'excuse en rien le comportement plus qu'amateur des enfants de Zoë, mais permettrait de comprendre un peu plus comment on est arrivé à cette situation.
Quant aux familles en mal d'enfants, on devrait largement simplifier les formules d'adoption pour que les enfants cessent de grandir dans des centrees pendant que des parents ne demmandent qu'à les accueillir. Je ne parle même pas des frais demandés, car si on s'offusque des 2000 ou 5000 € qui ont été versés à l'arche, on peut tout aussi bien s'offusquer de ces mêmes sommes (sinon plus) demandées par les organisations officielles d'adoption.
Les ONG sont faites par les hommes, et pour cette raison bien simple, certaines sont bonnes d'autres non... et même parmi celles qui ont bonne réputation quelque soit leur statut, il y a parfois du curieux, du bizarre.Tenez par exemple, on raconte, mais ce n'est sans doute qu'une rumeur ourdie par de sombres mécréants que Mère Thérésa, défunte O.N.Générale en chef , non seulement acceptait en échange des petits pensionnaires de ses orphelinats les dons les plus variés, mais qu'elle réservait le "premier choix" aux très bons chrétiens, refilant les moins beaux, voire les handicapés aux agnostiques notoires...
Pour ce qui est de la bande de glandus qui nous intéresse aujourd'hui, je crois qu'ils étaient atteints de kouchenérite aiguë...
On va les récupérer comme on a récupéré les infirmières bulgares, contre quelques armes et quelques munitions... Dommage, Cécilia n'est plus là pour faire "ce travail remarquable"...
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