31 janvier, 2010
Dominiqueniquenique
Non mais, il est vraiment folle ! ou en voiture Simon...
30 janvier, 2010
Les ex-votos des pauvres et des pêcheresses.
Ce qui est aussi étonnant ce sont les ex-votos en marbre qui tapissaient (y sont-ils encore ?) comme des lambris jusqu'à hauteur d'homme le déambulatoire et qu'on trouvait dans la plupart des églises de Poitiers. Ces ex-votos (tous du même format, environ 30cm par 15cm, on doit être égaux devant Dieu !), remercient pour une guérison, un succès, un truc un poil magique, ou d'autres raisons pas forcément avouables donc un peu sibyllines, bref, ils révèlent un tas de préoccupations très domestiques et tout autant secrètes et datent dans leur grande majorité du XIX°et du début du XX° siècle. Ils ont été gravés par les marbriers locaux à la demande avec les mêmes lettrines et les mêmes outils que ceux des pierres tombales et sont généralement dorés dans le creux des lettres, ils sont parfois signés en bas à droite de deux initiales.
Mais le plus amusant, c'est de voir que les pauvres sont allés squatter les ex-votos des riches en y inscrivant au crayon gras leurs propres remerciements pour les grâces reçues... On y lit, enfin on y lisait des choses simples, adressées à Dieu autant qu'à ses saints, un "merci" ajouté à la main au dessous ou au dessus du "merci" gravé, un "merci" pour une guérison, pour un succès à un examen, pour un enfant souhaité et arrivé, mais le plus étonnant dit-on (je ne l'ai pas vu, on me l'a rapporté) était plus qu'une simple action de grâce, un voeu, une supplique, la voici telle qu'elle est rapportée dans la mythologie familiale :
concevoir sans pêcher
aidez-moi, je vous en prie,
à pêcher sans concevoir !"
Ca, c'est pour mes amis photographes, j'en ai et d'excellents !
on peut les voir sur :
http://www.levankakabadze.com/
Je l'ai découvert grâce à http://colt-rane.com/
29 janvier, 2010
BLOG SUIVANT
Allez ! Oubliez tout ! Pas besoin de croire en quoi que ce soit ...
oeuvres musicales jamais écrites.
Elle s'appelle, vous l'aurez compris
pour ceux qui découvrent,
"Wie schön leuchtet der Morgenstern",
comme le choral luthérien
et la cantate Bwv 1 dont elle est l'ouverture.
28 janvier, 2010
Deux petits poissons s'aimaient d'amour tendre
J'entends ce matin, alors que globalement tout le monde trouve ça plutôt sympa, la représentante d'une association de parents d'élèves de l'ouest qui s'insurge... Vous savez comment elle s'appelle, en plus ? Madame Bourge... ça ne s'invente pas. Prédestination patronymique ? Prédestination, comme l'homosexualité, comme la connerie ?
La seule fois où je fus raciste... enfin, c'est à voir...
Orlando et Ophélie ou de fil en aiguille
Alors je fais la chaîne... je reprends le poème de Rimbaud, et j'ajoute, c'est normal, le tableau de Millais.
I
Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles
La blanche Ophélia flotte comme un grand lys,
Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles ...
- On entend dans les bois lointains des hallalis.
Voici plus de mille ans que la triste Ophélie
Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir;
Voici plus de mille ans que sa douce folie
Murmure sa romance à la brise du soir.
Le vent baise ses seins et déploie en corolle
Ses grands voiles bercés mollement par les eaux;
Les saules frissonnants pleurent sur son épaule,
Sur son grand front rêveur s'inclinent les roseaux.
Les nénuphars froissés soupirent autour d'elle;
Elle éveille parfois, dans un aune qui dort,
Quelque nid, d'où s'échappe un petit frisson d'aile:
- Un chant mystérieux tombe des astres d'or.
II
O pâle Ophélia! belle comme la neige!
Oui, tu mourus, enfant, par un fleuve emporté!
- C'est que les vents tombant des grands monts de Norwège
T'avaient parlé tout bas de l'âpre liberté;
C'est qu'un souffle, tordant ta grande chevelure,
A ton esprit rêveur portait d'étranges bruits;
Que ton coeur écoutait le chant de la Nature
Dans les plaintes de l'arbre et les soupirs des nuits;
C'est que la voix des mers folles, immense râle,
Brisait ton sein d'enfant, trop humain et trop doux;
C'est qu'un matin d'avril, un beau cavalier pâle,
Un pauvre fou, s'assit muet à tes genoux!
Ciel! Amour! Liberté! Quel rêve, ô pauvre Folle!
Tu te fondais à lui comme une neige au feu:
Tes grandes visions étranglaient ta parole
- Et l'Infini terrible effara ton oeil bleu!
III
- Et le Poète dit qu'aux rayons des étoiles
Tu viens chercher, la nuit, les fleurs que tu cueillis,
Et qu'il a vu sur l'eau, couchée en ses longs voiles,
La blanche Ophélia flotter, comme un grand lys.
Arthur Rimbaud (1854 - 1891), Poésies (1895), Ophélie (1870).
Camouflage(s)
s'intéresse au(x) "camouflage(s)"
et montre cette photo
à laquelle j'ajoute celle-ci :
Étonnant, n'est-il pas ? .
.
27 janvier, 2010
un jour...
Un jour c’est vrai je serai mort
Et ne le saurai même pas.
A mes proches c’est le seul tort
Que leur aurai fait ici bas.
Ah, le con ! voila qu’il nous laisse
Pour tout héritage des os
Avec autour bien trop de graisse
Diront-ils et fort à propos.
Que faire de lui qui nous fit rire ?
Quand ce jour il nous fait pleurer.
Rien ne fut dit, le mieux, le pire.
Le brûler ou bien l’enterrer ?
Mettons-le dans un beau drap bis
Brodé de jours d’Angles aux bords
Et confions le à Anubis,
Il aimait les chiens, non ? alors...
.
Votre répertoire de cantiques n'est plus à jour ?
seul, en couple (légitime bien entendu)
mieux encore en famille,
révisez les classiques,
découvrez les nouveaux,
par la méthode la plus moderne !
Vous voulez étonner
dimanche prochain à la messe ?
alors, une seule adresse :
26 janvier, 2010
Etre de gÔche aujourd'hui ? Êtats d'âme
Bon, être de droite, faut en convenir, c'est pas très compliqué, laisse aller, c'est une valse ! Il s'agit simplement d'imaginer ou de faire croire désormais, qu'on est dans le sens de l'histoire et de la modernité en effectuant sans état d'âme le "moonwalk" du regretté Michael Jackson. La droite est peut-être très bien, mais quoi qu'elle rabâche, son essence est d'être rétrograde et réactionnaire, c'est même à ça qu'on la reconnaît et pour ça que tant de gens l'aiment et ils ont, en ce qui les concerne entièrement raison, ils roulent pour eux ou croient le faire, ils verront bien...
Être de gauche, enfin prétendre être d'une certaine gauche, c'est actuellement hélas avoir des états d'âme en rêvant d'être révolutionnaire tout en étant dans la situation de ceux qui sont de droite et qui n'en ont pas...
Mais c'est que c'est vachement compliqué pour des gens pour qui, quel que soit l'endroit où ils se placent ou tentent de le faire, la réflexion ne doit pas prendre le pas sur l'action... Ah ! l'action ! quoi qu'on fasse le mot est chargé ...
L'inéluctable ? mais c'est là que ça coince, justement... rien n'est inéluctable que ce dont on veut bien pour diverses raisons avouables ou non, qu'il le soit. Si l'inéluctable existait vraiment, Hitler aurait définitivement gagné et mis en place le Reich qu'il appelait de ses voeux "pour mille ans"
Agir, n'importe qui peut le faire, tiens, même mon grille-pain le matin agit, et comme eux, sur commande...
5 légumes / jour, 3 produits laitiers / jour, 1 litre d'eau / jour...
25 janvier, 2010
Regrets chronologiques et fort républicains
François MITTERRAND
(21 mai 1981 - 17 mai 1995)
Valéry GISCARD-D'ESTAING
(27 mai 1974 - 21 mai 1981)
Georges POMPIDOU
(20 juin 1969 - 2 avril 1974)
Charles DE GAULLE
(8 janvier 1959 - 28 avril 1969)
René COTY
(7 janvier 1954 - 8 janvier 1959)
Vincent AURIOL
(16 janvier 1947 - 6 janvier 1954)
Albert LEBRUN
(10 mai 1932 - 9 juillet 1940)
Paul DOUMER
(13 juin 1931 - 6 mai 1932)
Gaston DOUMERGUE
(13 juin 1924 - 12 juin 1931)
Alexandre MILLERAND
(23 septembre 1920 - 11 juin 1924)
Paul DESCHANEL
(17 janvier 1920 - 21 septembre 1920)
Raymond POINCARÉ
(16 janvier1913 - 16 janvier 1920)
Armand FALLIIÈRES
(18 janvier 1906 - 16 janvier 1913)
Emile LOUBET
(18 février 1899 - 17 janvier 1906)
Félix FAURE
(17 janvier 1895 -16 février 1899)
Jean CASIMIR-PERIER
(26 juin 1894 - 15 janvier 1895)
Sadi CARNOT
(3 décembre 1887 - 24 juin 1894)
Jules GRÉVY
(30 janvier 1879 - 2 décembre 1887)
Edme-Patrice de MAC-MAHON
(24 mai 1873 - 30 janvier 1879)
excepté l'ignoble
Adolphe THIERS
(18 août 1871 - 24 mai 1873)
et en faisant l'impasse
sur l'impardonnable et prétendu "État Français"
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j'en suis même, ce jour, à regretter :
(10 décembre 1848 - 2 décembre 1851)
et comble du comble :
Jacques CHIRAC
(depuis 17 mai 1995 - 16 mai 2007)
qui par action ou par défaut nous le ramena !
C'est vous dire l'ampleur de mes républicains regrets !
non évènement
Je préfère m'intéresser aux grues et à leur construction.
Histoire de grues et pourquoi sont-elles jaunes
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Heureusement il y avait les "Buggles"
Une mention particulière pour les deux choristes, admirables, exemplaires !
Cela dit je me demande si les gens qui connaissent la musique que j'écris imaginent tous la musique que j'écoute...
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En vrac : charité, foutage de gueule et Cie
Ben rien, puisque je n'ai pas de télé pour ignorer une émission que je n'ai pas l'intention de voir.
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24 janvier, 2010
Bigard... Bigard dont vous savez tous qu'il fait mon bonheur me déçoit.
Je suis pas drôle? ah ben merde alors ! je croyais être à bonne école !
22 janvier, 2010
L'amour et le temps.
Alix, Enak, à suivre !
kotéku, avekousantunik, Alix et Enak, ki-nik-ki ?
21 janvier, 2010
Stephen Sondheim, enfin !
Mais là n'est pas mon propos. On va donc pouvoir enfin entendre "A little night music". Oh, ça n'a rien à voir avec Mozart. C'est une adaptation mise en musique de " Sourires d'une nuit d'été" de Bergman. Il y aura Lambert Wilson, et le retour de Leslie Caron... On va pas se plaindre . Alors, pour avoir un avant-goût, je vous mets un lien sur Youtube. Profitez-en pendant que ça passe !
Céleste Boursier-Mougenot et les oiseaux ou une chose et heureusement, son contraire !
http://www.youtube.com/watch?v=9QdgUJss9BU
Et voilà son pendant, en miroir, y a pas de raisons, vu du coté des oiseaux eux-mêmes donc beaucoup plus sérieux ! et pourquoi donc les zoizeaux ne feraient-ils pas de la musique de zhumains puisque certains zhumains prétendent sans rigoler faire de la musique de zoizeaux ?
http://www.youtube.com/watch?v=89Kz8Nxb-Bg&feature=player_embedded
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20 janvier, 2010
Que d'émotion pour l'émulsion...
Le rêve de l'industrie alimentaire ? à défaut de lyophiliser l'eau, essayer de la mouiller en douce...
J'arrête pas de devenir grand-oncle !
Voila, elle s'appelle Juliette, et pour ce que je sais d'une autre que je connais bien, à mon avis, c'est un bon départ ! La seule chose qu'elle ignore encore, la pauvre chérie, c'est qu'elle a un grand-oncle in-fer-nal... Quand elle aura vingt ans, j'en aurai quatre-vingts, n'empêche (sauf contre-indication gériatrique !), j'espère qu'on déconnera ferme, chaque fois qu'on se verra ...
19 janvier, 2010
Lobby de l'eau, lobby du lait
18 janvier, 2010
Philippe Meyer et les mots usés comme les eaux...
L'adjectif a tellement été galvaudé, noyé, dissout dans son sourire auto-satisfait chaque semaine à la radio par l'indigent Philippe Meyer, qu'il m'est impossible désormais de l'utiliser, fût-ce furtivement dans mon français parlé. C'est dégueulasse ! Pourquoi (m')a-t-il fait ça ? Y en a d'autres des mots, non ? A moins qu'il n'en ait pas tant que ça.
Yvan Levaï ou comment passer pour un con à peu de frais
Allons bon ! En plus du tremblement de terre, leur manquait plus qu'un bon virus... Heureusement, la radio comme la connerie n'est pas contagieuse...
Chez PPlemoqueur, janvier sera, tendance oblige, religieux et mystique
C’est dans l’azur qu’on voit les anges
Dit-on parfois aux enfants sages,
Leurs ailes douces comme langes
Perdent des plumes à leurs passages…
Dieu porte une barbe très blanche.
Il est assis sur un nuage
Et de sa main droite il déclenche
La pluie, le soleil et l’orage.
Zeus autrefois par sa puissance
N’a pas, que l’on sache, fait mieux,
Lui qui commandait de naissance
Aux héros, aux déesses, aux dieux.
Mais Dieu préfère l'ange incertain.
Est-il femme ? homme ? ou bien les deux ?
Il le roule au creux de sa main,
En un jeu de dé hasardeux.
Et la morale reste sauve
Car Dieu qui n’est pas sot je crois,
Sait très bien qu’à l’instar du mauve
L’homme est bleu et rose à la fois…
voila...
(petite auto-compilation)
Les nîmois ont bien de la chance !
17 janvier, 2010
Salivons, voulez-vous ?
Alors, voilà !
Le boudin ? Au four, ça lui apprendra ! Avec sur le dos une bonne traînée de muscade et de poivre avant cuisson. Une grosse patate douce tranchée en deux et cuite elle aussi au four, comme ça toute nue. Et puis j'avais un de ces petits foies gras industriels en boite, du genre moyen, qui faisait le mort au fond du fridg.
Résultat : les boudins blancs cuits au four. Dans l'assiette, avec une tranche de foie gras, une tranche de patate et puis aussi un gros reste de confiture d'oignons que j'ai faite moi-même de mes blanches mains.
Maintenant surprise ! j'ai râpé du radis noir... et ça c'est le "radis sur le boudin !" Oui oui, out ! la "cerise sur le gâteau", on dit comme ça maintenant !
"Imprédication dominicale"
Aboli,
A la devanture du boucher
Accroché
Lui qui se croit inaccessible,
Hors de cible.
Bien protégé par sa police,
Sa milice...
 ceux qu'il paie il fait confiance.
Bonne chance !
Mais comme en l' antique Carthage,
Vert de rage
Il mourra de ses mercenaires,
Ses sicaires
Quand ils se sentiront floués
Manoeuvrés.
Ils lui transperceront la peau
Comme un veau...
Et ils s'en feront des lacets.
C'est assez !
16 janvier, 2010
Mission Saint-Antoine, Mission Sainte-Bernadette ? encore plus fort sur ma fenêtre de pub à l'instant : !
Les yeux plus gros que le ventre...
Un petit vélo
Ce matin-là comme tous les autres qui l’avaient précédé, il quitta sa maison son jardin sa femme ses enfants pour aller gagner leur pain. Il prenait toujours le même chemin, le plus court. Il aurait pu le faire les yeux fermés depuis le temps, et ce dans les deux sens. Seules la lumière et les odeurs changeaient en fonction de l’air et des saisons. Il croisait toujours à la même heure la voiture de l’instituteur qu’il saluait d’un geste du bras par habitude, sans même tourner la tête.
Habitude, habitude, hébétude !
Mais Dieu sait pourquoi, ce jour précisément, à la patte d’oie, là où depuis des années, sans réfléchir, machinalement, il allait à gauche, il décida d’aller à droite. La route était droite, calme, le goudron frais. Tout était extraordinairement normal. Il roula. Il roula, sans effort, et puis, au bout de quelques minutes, petit à petit, il sentit ses roues crisser, grincer, fumer, sans pour autant ralentir, bien au contraire. Derrière lui, un jet de terre, puis de pierre, sortait du garde-boue. Il dut se rendre à l’évidence, sa bicyclette traçait un sillon dans la route. Le sillon devint tranchée, la tranchée devint trou, le trou gouffre, le gouffre enfin abysse dans lequel il se précipita, tête baissée comme un coureur, sans regrets.
On ne le revit jamais.
14 janvier, 2010
Haïti... C'est pas nouveau...
Cuba un de ces jours...
Reviens Ô Batista ! De l'enfer ou d'ailleurs ! Tu ne fus qu'un "artisan", rien d'autre qu'un bricoleur du malheur de ton peuple... tu ignorais le trader, bien sûr l'ordinateur... Ce qu'il va vivre bientôt, ce peuple, est bien pire que ce que tu lui fis subir pour ton seul profit, et en plus, c'est courru, jamais il ne connaîtra un deuxième Fidel, pour son bonheur peut-être, pour son malheur sans doute...
Miction Sainte-Bernadette et Miction Saint-Antoine !
Du sérieux : jugez-en !
- Exorcismes des habitations et exorcismes individuels
Nous nous chargeons de chasser le démon, les mauvais entités, les ondes négatives, la malchance, ect...
- Exorcismes des fermes et des animaux familiers
Ceci comprend l’exorcisme des bâtiments, des animaux et de tout ce qui s’y rapporte
- Exorcismes sur le mariage
Rétablit l’harmonie familiale
- Exorcismes des commerces
Nous tentons de ramener la clientèle et le profit habituel
Neuvaines :
Pour toute demande de grâce particulière
Gain d'un procès, achat/ vente d'une maison, obtention d'un prêt, réussite des examens, etc...
Pour une demande de guérison de maladie (à distance ou au domicile du malade)
Attention, le Seigneur seul décide de la suite à donner aux demandes de grâces
Bénédictions :
Ceci inclus( sic!) les bénédictions de tout endroit habitable, fermes, champs, commerces, animaux et bien sûr des malades.
Impositions des mains.
Solal ou Cohen en diagonale
Moi, si j'avais voulu rendre un hommage à quelqu'un, je n'aurais pas choisi un personnage imaginaire, au malheureux destin, non, je l'aurais appelé Albert, le nouveau-né, comme Cohen, l'immense écrivain...
13 janvier, 2010
Dieu aime les pauvres !
Voilà... Ben Monsieur le curé, pas de réponse ?
Mais non, mon fils, vous le savez bien, les voies du Saigneur sont impénétrables .
On l'appellerait mon oncle
La Morandais et Johnny...
Voila ! Heureusement qu'il s'est retapé, Johnny, car faudrait pas compter sur La Morandais pour l'homélie à Saint-Roch ou à la Madeleine...
12 janvier, 2010
Madame Auxchats et Madame Rose
Appel à souvenirs !
- vipère lubrique (la plus connue)
- hyène dactylographe (très savoureuse)
- vermine fasciste (ou d'autres obédiences)
Orientation sexuelle et activités para-musicales
Aujourd'hui, écoutant un peu ces mêmes radios et les nouvelles, en lisant la liste des membres des comités de rédaction ou les "signatures" de bien des canards musicaux, je m'aperçois que ce ne sont certes plus les mêmes qu'avant, mais que le principe n'a pas changé... même s'ils sont "d'aujourd'hui", ce sont encore quelques uns, les petits nouveaux qu'on voit partout, comme jadis... et comme je ne fréquente plus ces boxons, ces claques de la vie musicale, et ce depuis fort longtemps, une question néanmoins me turlupine, oh, pas par goût du ragot du people, non, juste par intérêt "sociétal", comme on dit de nos jours : ces brillants sujets doués d'ubiquité professionnelle, sont-ils aussi pédés que l'étaient leurs ancêtres des années 70 ? Attention, hein ! c'est pas pour critiquer, c'est juste pour savoir ! Ah et puis, pas de noms ! on va pas en plus leur faire de la pub !
11 janvier, 2010
Au fait, vous avez vu ?
Voilà, ça y est, je suis accro à la patate douce !
Alors, ce soir, si vous avez un peu de cochon et trois patates douces, vous faites comme moi :
- vous prenez vos dés de porc ou de cochon (c'est vous qui voyez !)
- vous les trempez dans la moutarde puis dans un mélange cassonade-farine avant de les jeter dans l'huile bouillante
- vous les laissez dorer, un peu comme des beignets
-quand c'est fait, vous les sortez et à leur place dans le même récipient, vous faites revenir des oignons avec de l'ail et puis le reste du mélange farine-cassonade.
- quand les oignons ont fondu, ou sont fondus, ce qui du point de vue du goût est vraiment la même chose, vous leur remettez le porc sur le dos... vous laissez cuire un peu avec un bon verre de vin blanc, un peu de soj-sauce et puis des épices, selon et un bouillon cube dissout dans un peu d'eau ...
- vous ajoutez les patates douces en rondelles, vous mélangez le tout et le versez dans un plat que vous mettez au four.
- cuisson à surveiller en goûtant.
Voilà ! encore un repas de "sardine à poil" comme disait mon grand'père et comme dit Orlando qui connaît ses classiques !
10 janvier, 2010
Y a des mecs que d'une manière ou d'une autre il vaut mieux pas être ou avoir été avec ....
Patti Smith au Père Lachaise ou PPlemoqueur mène l'enquête !
Jacques Amblard - Duruflé - Requiem - Critique - Madame Michu...
Pour ce qui est de la "modernité", fût-elle "intéressante" (en quoi d'ailleurs la modernité est-elle intéressante où non puisque sa raison d'être est d'être ou n'être pas...?), il s'en tapait le prie-dieu, Maurice, de la modernité, la permanence du grégorien dans toute son oeuvre en témoigne ! Quand à le rapprocher de Messiaen... Il aurait peut-être pu d'abord le rapprocher de Jehan Alain, Mr.Amblard, sans prendre de risques inconsidérés, sans être ridicule non plus. Et puis, plus simplement, il orchestrait plutôt bien, non ? C'est pas intéressant ? Ah bon !
A moins que dans sa hâte et au hasard d'une erreur d'étiquetage et de conditionnement, il ait (encore !) écouté celui de Fauré qui correspond mieux à la très sommaire description qu'il en fait... mais non, je déconne.
Enfin, tout de même : "lacrimose". Mein Gott, Gracious Lord et Doux Jésus réunis ! j'en suis sur le cul, au fond du Gaffiot !
- Ah ! ces critiques musicaux, Madame Michu, quelle culture, j'vous jure, quelle raffinerie, comme disait mon coiffeur ! mais où vont-ils chercher tout ça ?
- "Encore des mots, toujours des mots" comme disait la regrettée Dalida ! qu'elle me réplique, Madame Michu qui en a lu d'autres et à qui on ne la fait pas ...