Un jour on verra le nanti
Aboli,
A la devanture du boucher
Accroché
Lui qui se croit inaccessible,
Hors de cible.
Bien protégé par sa police,
Sa milice...
 ceux qu'il paie il fait confiance.
Bonne chance !
Mais comme en l' antique Carthage,
Vert de rage
Il mourra de ses mercenaires,
Ses sicaires
Quand ils se sentiront floués
Manoeuvrés.
Ils lui transperceront la peau
Comme un veau...
Et ils s'en feront des lacets.
C'est assez !
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