Je pourrais comme les gastronomes qui écoutent la télé saler mes repas à
la Fleur de Guérande... Mais vu que l'écotaxe a fuit la Bretagne à tire
d'aile, et qu'ils ont ôté les portiques, je n'ai plus aucun scrupule à
me saler comme je le fais depuis des années au sel rose de l'Himalaya...
31 octobre, 2013
Ils grandissent en âge et en sagesse
Je suis un peu leur parrain. Il va falloir que je leur offre pour leur première communion chacun un missel vespéral romain, une montre et un stylo, bref, une ruine !
eh oui !
Savez-vous qu'à l'heure qu'il est, au lieu de dormir, je me pose des questions ?
Pas vous ?
Dormez braves gens, il est une heure !
Pas vous ?
Dormez braves gens, il est une heure !
30 octobre, 2013
Pratique !
Vous n'avez pas l'oreille absolue ni de diapason sous la main ?
Alors sachez qu à défaut de vous donner un La à 440, en frappant ou en soufflant dans une bouteille 1,25l vide de Salvetat vous obtiendrez un très honorable Ut de dépannage !
Alors sachez qu à défaut de vous donner un La à 440, en frappant ou en soufflant dans une bouteille 1,25l vide de Salvetat vous obtiendrez un très honorable Ut de dépannage !
29 octobre, 2013
La vie des artistes et leur œuvre
Honnêtement quelle importance de savoir que Proust était asthmatique
puisque de toute façon il en faisait état, tout autant que Céline de ses
délires anthropo-phobiques. Que Mahler comme Mendelssohn vivaient
moyennement la conversion des leurs aïeux ou la leur, que Bach aurait
été différent s'il avait eu à sa portée des contraceptifs et le droit de
s'en servir.Que Saint Saens fréquenta
fort âgé la tasse de proximité de son haussmannien domicile sous la
surveillance ( il était de l'Institut) d'un agent de ville attaché à sa
personne ) n'est pas sauf sur le plan people très intéressant, loin de
la musicologie, encore que certains sur les ondes en font leurs choux
gras... En revanche que Beethoven ait été sourd et Mozart un blanleur
facétieux autant qu'irresponsable devient inévitable. Que Pïcasso
peintre né se soit forcé à tout désapprendre... Bon Ok Messiaen aimait
le Malibu en écoutant avec les yeux, avouez que c'est véniel...
C'est pas simple... Si ça se trouve Pérotin était avant l'heure une fort ensoutanée et gothique Drag Queen... A qui se fier...
C'est pas simple... Si ça se trouve Pérotin était avant l'heure une fort ensoutanée et gothique Drag Queen... A qui se fier...
Le roi des aras
Je sais dire "Merde !" en guarani
Oui mais aussi “Comment ça va ?”
En chorote, en cayova
Et bien des choses, mon ami
Que vous n'imagineriez pas...
Lou Reed toujours...
Lou
Reed adolescent fut soumis à un traitement par l'électricité destiné à
soigner en les combattant ses pulsions homosexuelles, un peu comme dans "Orange Mécanique". Il ne s'agissait pas comme on le
prétend d'électrochocs sous anesthésie, mais bien pire, de chocs
électriques appliqués après qu'on lui eut montré des images
homo-érotiques. Il parait que cela se fit aussi en Europe et
probablement en France, un peu après.
Nous on a eu du pot, on a eu le Père Marc Oraison, prêtre et médecin psychiatre qui traitait la chose par le mariage... C'était plus soft, c'est vrai, c'était surtout les épouses qui souffraient après, effet retard, dira-t-on...
Nous on a eu du pot, on a eu le Père Marc Oraison, prêtre et médecin psychiatre qui traitait la chose par le mariage... C'était plus soft, c'est vrai, c'était surtout les épouses qui souffraient après, effet retard, dira-t-on...
Entendue ce matin sur France Inter Marine Le Pen.
Lisse, très lisse, trop lisse. Il faut dire que celui qui l'intervioue,
sans être dans la connivence, ne cherche pas un instant à l' hérisser,
la mettre au supplice...
Fini la malice et les maléfices,
Marine, ça patine, double axel et triple salto,
lisse, lisse, ça glisse,
ça se glisse en douce dans les interstices...
Artifices !
Fini la malice et les maléfices,
Marine, ça patine, double axel et triple salto,
lisse, lisse, ça glisse,
ça se glisse en douce dans les interstices...
Artifices !
28 octobre, 2013
Écrire à la main...
Pendant
longtemps, avant l'ordinateur, n'ayant pour seule rivale et néanmoins
alliée que la machine à écrire IBM à boule à effaceur automatique,
j'avais une écriture chichi... élégante, plutôt petite, intellectuelle
et lisible, bref une écriture de maquillage. J'en avais même en fait
plusieurs, en fonction du destinataire, je sais, je suis pas le seul
fussé-je le seul à l'avouer...
Depuis l'ordinateur, j'ai une grosse écriture de cochon, sans vergogne ; seuls restent de la période antérieure, mes "d" irrémédiablement en delta, emprunts à l'admirable écriture de mon père qui jamais n'effleura la moindre Remington... Je vais vous faire un aveu, quand j'écris à la main ce qui est désormais très rare, dès que j'écris mon premier "d" , je pense invariablement à mon père... C'est chouette, non ?
Depuis l'ordinateur, j'ai une grosse écriture de cochon, sans vergogne ; seuls restent de la période antérieure, mes "d" irrémédiablement en delta, emprunts à l'admirable écriture de mon père qui jamais n'effleura la moindre Remington... Je vais vous faire un aveu, quand j'écris à la main ce qui est désormais très rare, dès que j'écris mon premier "d" , je pense invariablement à mon père... C'est chouette, non ?
Les gens extraordinaires
Comme
dans "Sélection du Reader's Digest " de la grande époque : les
personnages extraordinaires que j'ai rencontrés (pour ceux qui se
souviennent...)
J'ai connu, dans une vie antérieure, une écriveuse qui, adepte compulsive de la prosopopée vous troussait en quelques pages un spirituel dialogue entre, par exemple une machine à coudre et un marteau-piqueur, une fourchette à huitre et une cuiller à soupe, la Tour Eiffel et un verre à whisky, à moins que ce fussent, plus simplement, les confidences intimes d'un appareil dentaire sur le bord d'un évier. Bref, un talent fou ! De la poésie en barre, en poudre, en spray ! C'est injuste, nous ne sommes pas égaux devant le don d'écrire . C'est comme ça !
J'ai connu, dans une vie antérieure, une écriveuse qui, adepte compulsive de la prosopopée vous troussait en quelques pages un spirituel dialogue entre, par exemple une machine à coudre et un marteau-piqueur, une fourchette à huitre et une cuiller à soupe, la Tour Eiffel et un verre à whisky, à moins que ce fussent, plus simplement, les confidences intimes d'un appareil dentaire sur le bord d'un évier. Bref, un talent fou ! De la poésie en barre, en poudre, en spray ! C'est injuste, nous ne sommes pas égaux devant le don d'écrire . C'est comme ça !
27 octobre, 2013
Le bandeau rouge
Ca y est la guerre des Prix aura bien lieu . Elle a même commencé et au Masque et la Plume qu'à l'instar de "La prochaine fois je vous le chanterai' du pathétique Meyer et de l'horripilant "Carrefour de l'Odéon je zappe dès le générique on va faire assaut de bons mots et de formules, ceux qui les profèrent n'ayant pour la plupart jamais rien écrit de leur deux doigts qui soit dans les mémoires. Ils ont, ça ne date pas d'hier investi le milieu littéraire par cooptation et s'arrogent un pouvoir dont les éditeurs, commerçants remarquables utilisent l'orgueil et la sollicitude pour vendre tout à tour du papier relié.
C'est ainsi que les heureux gagnants méritants ou non auront droit au bandeau rouge. "Prix de Mon Cul 2013". "Prix de L'Académie de mes couilles 2013. " Grand Prix de la Foufoune Germanopratine 2013".
Ok, ca rapporte plus que le "rapido" au bistrot du coin...
Les corsaires, hommes ou femmes, les vrai(e)s, les couillu(e)s portaient une jambe de bois, et un beau bandeau certes, mais un beau bandeau noir !
Bon ok, Le Pen aussi porta un bandeau noir... Mais Le Pen, il est, chez lui, dans la baie des Trépassés...
Les chroniqueurs de cette émission qui annoncent leurs saillies un quart d'heur à l'avance par leur ton réjoui et leurs langues mouillées, m'exaspèrent Je mets un point d'honneur à ne jamais lire un seul de leurs lauréats...
Bref, contrairement à des milliers d'acheteurs, le bandeau rouge même en cas de panne au moment de Noël, ne me fait pas bander...
Choc du jour : Lou Reed est mort , et Laurie triste. Nous aussi
alors, cette chanson de lui que je préfère :
Putti putti putti....
Généralement, les putti sont joyeux comme ceux du Rosso, mais il y en a un qui pleure dans la
cathédrale d'Amiens, j'en ai dégoté un, mais je ne sais plus où qui tire la tronche...
25 octobre, 2013
Le "Rendez-vous" manqué du soir :
Pygmalion et Galatée
Pygmalion le sculpteur vient juste d’achever
Cette statue d’ivoire et d'or qui fait rêver.
Il convoque Aphrodite. Elle est bonne copine
Et anime aussitôt la chryséléphantine.
Et Galatée descend de son beau piédestal.
Fière et froide à la fois, c’est le mépris total.
Avisant son auteur, amoureux éperdu,
Elle n'aura que ce mot : “ L’ai-je bien descendu ? ”
Ci dessous , Pygmalion et Galatée par Jérôme, peintre mal connu, déconsidéré et néanmoins génial
Pygmalion le sculpteur vient juste d’achever
Cette statue d’ivoire et d'or qui fait rêver.
Il convoque Aphrodite. Elle est bonne copine
Et anime aussitôt la chryséléphantine.
Et Galatée descend de son beau piédestal.
Fière et froide à la fois, c’est le mépris total.
Avisant son auteur, amoureux éperdu,
Elle n'aura que ce mot : “ L’ai-je bien descendu ? ”
Ci dessous , Pygmalion et Galatée par Jérôme, peintre mal connu, déconsidéré et néanmoins génial
24 octobre, 2013
J'anticipe je sais...
Bientôt le 11 novembre... 2014-1914 cent ans .
Hommage à Otto Dix ( tableau ci dessous)
Regardez bien au fond de leurs pleines
entrailles !
Qu’y trouvez-vous ? un cœur, des veines
palpitantes…
Que n’osent constater des yeux exorbités
Par la peur, la douleur, fruits des ordres donnés
Et l’horreur tant fêtée des vilaines
batailles,
Du sang froid et caillé et de vaines
beuglantes.
Champ de bataille
© 2003
Hommage à Otto Dix ( tableau ci dessous)
Regardez bien au fond de leurs pleines
entrailles !
Qu’y trouvez-vous ? un cœur, des veines
palpitantes…
Que n’osent constater des yeux exorbités
Par la peur, la douleur, fruits des ordres donnés
Et l’horreur tant fêtée des vilaines
batailles,
Du sang froid et caillé et de vaines
beuglantes.
Champ de bataille
© 2003
Dionysos, je suis fan...
mais quand de surcroît, ils chantent avec Jean Rochefort, alors, là, c'est le top
23 octobre, 2013
22 octobre, 2013
Kamakula
Ma psychanalyse et moi .
Il y a quelques lustres, n'étant pas très bien, pour des raisons structurelles et hélas conjoncturelles, j'entrepris en sachant qu'elle avait été salvatrice pour nombre de mes amis, une analyse avec un psychanalyste connu, lacanien, et pas gratuit, ma foi. Il faut dire qu'avant de me confier à son oreille, j'avais envisagé un autre de ses confrères tout aussi célèbre mais en plus dispendieux, on m'annonça, hélas, quand je pris rendez-vous qu'il était mort depuis huit jours. Symboliquement c'était pas simple.
Tout se passait fort bien avec le nouveau , ex-dominicain et brillant musicologue ; nous restâmes toutefois face à face, et je fis avec lui l'économie du divan, car, le fait qu'il s'endormît pendant la séance me paraissait normal, non, ce qui me gênait, c'est qu'il ronflait, piquait du nez et menaçait de tomber de son fauteuil, fût-ce sur les 19 heures, comme après un repas trop chargé . Je suis d'un naturel prodigue mais je n'allais pas payer trois cents francs les vingt minutes (en 1991, c'était pas donné à raison d'une séance hebdo) pour m'offrir une angoisse supplémentaire, j'en avais justement mon compte... Je décidai donc de changer de "sparring-partner" sans même le prévenir. Il m'envoya, et c'est dans les us et coutumes, des courriers que je n'ouvris jamais. Vous me voyez dire à un homme de l'art que si je supporte que mon conjoint ronfle gratuitement, ce n'est pas pour me payer hors mes murs des ronflements somptuaires et hyper anxiogènes ...
Je n'ai rien contre les Témoins de Jéhovah sauf...
quand ils sont collants.
Je
n'ai rien contre les Témoins de Jéhovah sauf quand ils sont collants. Je
n'ai pas cessé de pratiquer une religion pesante mais pas si bête, pour
me rabattre sur une particulièrement plus conne...
Poursuivi par une missionnaire, quadragénaire pimpante autant qu'obstinée, il y a quelques mois alors que je faisais des photocopies chez mon camarade Fabrice Moshé, je lui avais dit, fort courtoisement une fois qu'elle eût admis que je l'avais démasquée, de me lâcher la conscience. Il y a une heure à peine, au même endroit, la voici qui débarque avec son fils, âgé d'une douzaine d'années. Je ne suis pas d'une chaleur extrême, mais en bon témoin, c'est à dire martyr elle repart à la charge, retente sa chance par le truchement de son gamin en me demandant si je veux bien accepter de sa part l'image pieuse qu'il me tend, un peu comme un petit rom que sa mère envoie mendier à sa place... Ignoble ! Maquerelle ! Je suis tenté de l'injurier. Elle serait trop contente...
Alors j'ai un coup de génie !
"Désolé, lui dis-je, c'est trop tard ! Fini les images ! Depuis la dernière fois que nous nous sommes vus, ça pas été facile, certes, même un peu douloureux, mais Fabrice m'a converti, ça y est je suis juif ! " Je la vois s'effondrer, se liquéfier, battre définitivement en retraite...
Poursuivi par une missionnaire, quadragénaire pimpante autant qu'obstinée, il y a quelques mois alors que je faisais des photocopies chez mon camarade Fabrice Moshé, je lui avais dit, fort courtoisement une fois qu'elle eût admis que je l'avais démasquée, de me lâcher la conscience. Il y a une heure à peine, au même endroit, la voici qui débarque avec son fils, âgé d'une douzaine d'années. Je ne suis pas d'une chaleur extrême, mais en bon témoin, c'est à dire martyr elle repart à la charge, retente sa chance par le truchement de son gamin en me demandant si je veux bien accepter de sa part l'image pieuse qu'il me tend, un peu comme un petit rom que sa mère envoie mendier à sa place... Ignoble ! Maquerelle ! Je suis tenté de l'injurier. Elle serait trop contente...
Alors j'ai un coup de génie !
"Désolé, lui dis-je, c'est trop tard ! Fini les images ! Depuis la dernière fois que nous nous sommes vus, ça pas été facile, certes, même un peu douloureux, mais Fabrice m'a converti, ça y est je suis juif ! " Je la vois s'effondrer, se liquéfier, battre définitivement en retraite...
Attention ! escroquerie !
Spam Virus escroquerie . Vous risquez de recevoir un écran prétendue émanation de la Gendarmerie Nationale et vous avertissant que vous avez téléchargé illégalement des musiques ou des vidéo. Il vous menace de bloquer votre ordinateur si vous ne leur versez pas 100 euro en donnant votre numéro de carte bancaire...
Il s'agit bien sûr d'une escroquerie
Si d'aventure cela vous arrive éteignez votre ordinateur pas par les procédures normales mais en le débranchant
Si vous vous retrouvez comme ça m'est arrivé bloqué, je vous donnerai le site qui permet de vous débloquer
21 octobre, 2013
Hédiard sur le point de fermer !
Mais où vais-je donc, si c'est la cas, acheter mon boudin ?
Il faut d'urgence mettre en place un HÉDIARDTHON, histoire de sauver au plus vite, ce commerce et traiteur admirable où se ravitaille quotidiennement une clientèle de proximité ! Bien sûr, on peut faire cent mètres et aller chez Fauchon , mais avouez, c'est d'un vulgaire....
Il faut d'urgence mettre en place un HÉDIARDTHON, histoire de sauver au plus vite, ce commerce et traiteur admirable où se ravitaille quotidiennement une clientèle de proximité ! Bien sûr, on peut faire cent mètres et aller chez Fauchon , mais avouez, c'est d'un vulgaire....
Le premier roman de Manuel Valls.
Manuel
Valls, ministre né espagnol est, convenons-en, il sait de quoi il cause
un modèle d'intégration. et la preuve indiscutable de la réussite de
l'École Publique Française
Est-ce en admirateur de son ainé andalou Garcia Lorca, auteur certes de gauche et quelque peu fusillé, de "La Maison de Bernarda" et de ses racines catalanes qu'il vient d'écrire son premier et bref roman : "La Maison de Léonarda" ? Il est jeune Valls, y avait pas urgence à se lancer d'emblée dans la littérature néo-naturaliste...
Est-ce en admirateur de son ainé andalou Garcia Lorca, auteur certes de gauche et quelque peu fusillé, de "La Maison de Bernarda" et de ses racines catalanes qu'il vient d'écrire son premier et bref roman : "La Maison de Léonarda" ? Il est jeune Valls, y avait pas urgence à se lancer d'emblée dans la littérature néo-naturaliste...
20 octobre, 2013
Marcel Aymé, j'aime
Reçu de ma nièce Frédérique cette somme des Nouvelles de Marcel Aymé : 1350 pages de bonheur .
Parce que faut pas oublier ! Certes Il y eut Proust, Céline, Gide, Mauriac, Camus, Sartre et consorts... mais il y eut aussi Marcel Aymé. J'exagère ? non, Aymé est parmi les plus grands ! Frédérique, ma nièce, le sait bien que j'embrasse pour ce beau cadeau !
Parce que faut pas oublier ! Certes Il y eut Proust, Céline, Gide, Mauriac, Camus, Sartre et consorts... mais il y eut aussi Marcel Aymé. J'exagère ? non, Aymé est parmi les plus grands ! Frédérique, ma nièce, le sait bien que j'embrasse pour ce beau cadeau !
19 octobre, 2013
"Sanctuariser" !
Oh, le beau, le magnifique, l'incomparable verbe que voilà!
A la suite de l'expulsion musclée d'une gamine kosovar scolarisée en France au cours d'une sortie scolaire et expédiée dans les heures qui suivent vers son pays d'origine dont elle ne parle sans doute plus la langue, les ministres se refile la patate chaude autant dire comme mon grand père, le bâton merdeux...
Il y a la loi ! on doit l'appliquer ok - d'accord, ou ce n'est pas la peine d'en faire... Maintenant , il y a peut-être des manières plus élégantes de la faire mettre en pratique surtout quand on est de gôche. Et c'est là que le ministre de l'Éducation sort de sa trousse le verbe "sanctuariser" Il faut sanctuariser les écoles... Ok, mais vu la manière dont ça se passe quand 'on veut coffrer les gamins en situation irrégulière, il faut aussi sanctuariser les trottoirs, les rues, les bus scolaires, les aires d' autoroutes, les sanisettes, les boulangeries, les discounteurs et les échoppes de barbe à papa... bref il faut sanctuariser le territoire entier. C'est pas con ça, sanctuariser la France. D'ailleurs pendant longtemps, elle l'a été de fait sanctuarisée sans même le savoir, sans s'en rendre compte. "France terre d'asile". Bon c'était jadis, autrefois, y a longtemps...
Mais bougres d'ânes ! ineptes ou bien cyniques de tous bords et tendances, ce ne sont pas les lieux qu'il faut sanctuariser, c'est la Personne Humaine !
A la suite de l'expulsion musclée d'une gamine kosovar scolarisée en France au cours d'une sortie scolaire et expédiée dans les heures qui suivent vers son pays d'origine dont elle ne parle sans doute plus la langue, les ministres se refile la patate chaude autant dire comme mon grand père, le bâton merdeux...
Il y a la loi ! on doit l'appliquer ok - d'accord, ou ce n'est pas la peine d'en faire... Maintenant , il y a peut-être des manières plus élégantes de la faire mettre en pratique surtout quand on est de gôche. Et c'est là que le ministre de l'Éducation sort de sa trousse le verbe "sanctuariser" Il faut sanctuariser les écoles... Ok, mais vu la manière dont ça se passe quand 'on veut coffrer les gamins en situation irrégulière, il faut aussi sanctuariser les trottoirs, les rues, les bus scolaires, les aires d' autoroutes, les sanisettes, les boulangeries, les discounteurs et les échoppes de barbe à papa... bref il faut sanctuariser le territoire entier. C'est pas con ça, sanctuariser la France. D'ailleurs pendant longtemps, elle l'a été de fait sanctuarisée sans même le savoir, sans s'en rendre compte. "France terre d'asile". Bon c'était jadis, autrefois, y a longtemps...
Mais bougres d'ânes ! ineptes ou bien cyniques de tous bords et tendances, ce ne sont pas les lieux qu'il faut sanctuariser, c'est la Personne Humaine !
18 octobre, 2013
In illo tempore
Avec toutes ces
histoires que les mauvais esprits, les suppôts de l' "Anti-France" et
autres ennemis de l'intérieur, taxent d'ostracisme, la bonne question
qu'on posa en ces temps, prenant comme étalon cet homme admirable,
reste hélas toujours d'actualité !
17 octobre, 2013
Aujourd'hui anniversaire de la mort de Marie-Antoinette
Que vous ai-je donc fait si ce n’est exister
En ce monde où plus rien ne justifie qu’on reste,
Où la mort réjouit ceux qui voient affûter
Cette lame qui glisse sur le cou, là, si preste...
Elle glissera sur moi comme elle glissa sur Louis
Au début de l’hiver. J'ai attendu l’automne
Le feuillage rougi des arbres aux Tuileries
Se teintera dès lors du sang que je vous donne.
Lisez le testament de Marie Antoinette écrit d'un seul jet quelques heures avant son exécution.
C'est admirable.
Cliquez les images pour les agrandir. C'est tout à fait lisible .
15 octobre, 2013
Olympe, George ou Louise
L'une des trois sera probablement panthéonisée à la fin de l'année.
Olympe de Gouges, je m'en fous un peu.
C'est entre George Sand et Louise Michel que mon cœur balance !
14 octobre, 2013
Spiritualité et fonds de commerces divers
Attention , ce soir je rigole pas !
Nous avons découvert récemment Paul et moi qu'un ami très cher, hélas disparu, artiste incomparable avait fait partie d'une secte certes minuscule, mais avait fait reposer sur l'es préceptes et les symboliques les plus folleyantes de celle-ci toute une part de ses œuvres fussent elles plus remarquables, au prétexte du principe incontournable de SPI-RI-TUA-LI-TÉ .
On voudrait à ce propos nous faire croire rappelant la saillie incertaine et variante de Malraux, de surcroît parfaitement inepte " Le XXI° siècle sera spirituel" que la spiritualité est l'antichambre de la " Foi" ... foutaise absolue, hypothèse foireuse, début des fonds de commerces... La spiritualité est éventuellement une histoire entre soi et soi, comme nos humeurs et secrétions diverses.
Si l'homme, disent-ils, ces bons apôtres, a un jour et très tôt, conçu le besoin de "croire" c'est la preuve que ça lui était nécessaire, donc la croyance, donc la foi, est le propre de l'homme. C'est vrai les animaux sont moins cons. Et de pousser le syllogisme à l'extrême. Le fait que l'homme croit justifie et prouve l'inéluctabilité de "la croyance" et par conséquence l'existence de Dieu. C'est bien connu : "Les chats ont les yeux bleus. Socrate a les yeux bleus donc Socrate est un chat"...
Dans ce cas, le fait que l'homme tue justifierait le meurtre ... Je vais vous dire, moi, je ne me dis pas athée... La question ne se pose même pas... dire ou écrire le mot c'est déjà le prendre en considération et lui donner l'importance que souhaitent lui attribuer les prosélytes de tous poils.
Athée, ils veulent bien, puisque qu'il y a dieu dans le mot... Moi je leur dis : rien, nichts, nothing, nada, nitchevo, klum ... Je refuse de me situer. Mais s’il faut entrer dans le champ de foire dialectique, je n'irai pas plus loin que je le fais à l'instant.... après, ce serait cautionner en l' alimentant la plus petite hypothèse en faveur des marchands de culte-occultes, sectes et religions confondues, qui comme je l'ai déjà dit hier encombrent les trottoirs les jours de leurs rituels....
Nous avons découvert récemment Paul et moi qu'un ami très cher, hélas disparu, artiste incomparable avait fait partie d'une secte certes minuscule, mais avait fait reposer sur l'es préceptes et les symboliques les plus folleyantes de celle-ci toute une part de ses œuvres fussent elles plus remarquables, au prétexte du principe incontournable de SPI-RI-TUA-LI-TÉ .
On voudrait à ce propos nous faire croire rappelant la saillie incertaine et variante de Malraux, de surcroît parfaitement inepte " Le XXI° siècle sera spirituel" que la spiritualité est l'antichambre de la " Foi" ... foutaise absolue, hypothèse foireuse, début des fonds de commerces... La spiritualité est éventuellement une histoire entre soi et soi, comme nos humeurs et secrétions diverses.
Si l'homme, disent-ils, ces bons apôtres, a un jour et très tôt, conçu le besoin de "croire" c'est la preuve que ça lui était nécessaire, donc la croyance, donc la foi, est le propre de l'homme. C'est vrai les animaux sont moins cons. Et de pousser le syllogisme à l'extrême. Le fait que l'homme croit justifie et prouve l'inéluctabilité de "la croyance" et par conséquence l'existence de Dieu. C'est bien connu : "Les chats ont les yeux bleus. Socrate a les yeux bleus donc Socrate est un chat"...
Dans ce cas, le fait que l'homme tue justifierait le meurtre ... Je vais vous dire, moi, je ne me dis pas athée... La question ne se pose même pas... dire ou écrire le mot c'est déjà le prendre en considération et lui donner l'importance que souhaitent lui attribuer les prosélytes de tous poils.
Athée, ils veulent bien, puisque qu'il y a dieu dans le mot... Moi je leur dis : rien, nichts, nothing, nada, nitchevo, klum ... Je refuse de me situer. Mais s’il faut entrer dans le champ de foire dialectique, je n'irai pas plus loin que je le fais à l'instant.... après, ce serait cautionner en l' alimentant la plus petite hypothèse en faveur des marchands de culte-occultes, sectes et religions confondues, qui comme je l'ai déjà dit hier encombrent les trottoirs les jours de leurs rituels....
13 octobre, 2013
Vaires sur Marne et son boa....
Dans le p'tit bois devinez quoi qu'y a !
Y a des pancartes...
Pendant des années dans le bois de Vaires sur Marne, il y avait, était-ce vraiment indispensable, des pancartes de bois pyrogravées un peu roots certes, mais discrètes et jolies. Aujourd'hui lors de ma promenade avec Oscar le Chien je découvre que les vieilles et rustiques plaques de bois ont été remplacées par d' odieuses pancartes urbaines en métal émaillé... D'abord, sauf si on a un rencart, "a date" pour causer chic, malgré la police anti-pédés qui officiellement et régulièrement y rôde, elle est payée pour, on s'en fout de savoir si l'on est "allée des écureuils" ou "allée des renards" vu que personne n'y a jamais vu ni un écureuil ni un renard dans le coin... La seule plaque qui manque c'est "allée des pédés", il eût fallu en faire plusieurs... A quand le bitumage des allées en question et des tourniquets à l'entrée du bois avec un "pass" familial ou d' hétérosexualité patentée ...
J'imagine alors une promenade dans la forêt équatoriale balisée en néons multicolores : allée des zèbres, allées des éléphants, allées des gazelles, des lions, des girafes, allée des boas constrictors... On peut rêver non ?
Y a des pancartes...
Pendant des années dans le bois de Vaires sur Marne, il y avait, était-ce vraiment indispensable, des pancartes de bois pyrogravées un peu roots certes, mais discrètes et jolies. Aujourd'hui lors de ma promenade avec Oscar le Chien je découvre que les vieilles et rustiques plaques de bois ont été remplacées par d' odieuses pancartes urbaines en métal émaillé... D'abord, sauf si on a un rencart, "a date" pour causer chic, malgré la police anti-pédés qui officiellement et régulièrement y rôde, elle est payée pour, on s'en fout de savoir si l'on est "allée des écureuils" ou "allée des renards" vu que personne n'y a jamais vu ni un écureuil ni un renard dans le coin... La seule plaque qui manque c'est "allée des pédés", il eût fallu en faire plusieurs... A quand le bitumage des allées en question et des tourniquets à l'entrée du bois avec un "pass" familial ou d' hétérosexualité patentée ...
J'imagine alors une promenade dans la forêt équatoriale balisée en néons multicolores : allée des zèbres, allées des éléphants, allées des gazelles, des lions, des girafes, allée des boas constrictors... On peut rêver non ?
Pascal Paoli et l' oxymoron
Éponyme et Oxymoron deux mots sur-employés par les gens de radio depuis les quelques mois qu'ils en ont découvert l'existence.
Les éponymes, j'en ai déjà parlé, Pascale Clark sur la même radio s'en goberge régulièrement .
Mais ce matin sur France inter l'autre Pascal, Paoli qualifie la "Guerre Propre" d'oxymore.
Non Môssieur Paoli-fils, ce n'est pas un oxymore, c'est tout au plus un non sens, une vaste couillonnade . Pour
faire de la guerre un oxymore, il faut lui adjoindre par exemple
"paisible", "douce", ou comme on disait sous l'ancien régime "une guerre
en dentelles"...
Bon, estimons nous heureux, il nous a épargné la
"guerre violente" faisant ainsi l'économie d' un pléonasme...
On ne peut pas tout faire le même jour, faut en garder pour les fois à venir ...
10 octobre, 2013
Suite du précédent ou la vie et la mort des animaux .
Gamin, j'allais au catéchisme et nous faisions en fin d'année, vers
juin, une sortie festive. Le curé louait un "Rapide du Poitou", dans
lequel il chargeait avec son vicaire les impétrants à la communion
solennelle. Une fois ce fut un pèlerinage du côté de Saint Laurent sur
Sèvre. On nous mena vers une petite chapelle délabrée mais devant laquelle
se trouvait imprégnée rien moins que le pied de la Vierge ! C'était
certes admirable mais ne pouvait suffire à meubler une journée entière
pour une quarantaine de gamins en fin d'année scolaire. Mais Il avaient
tout prévu et après un match de foot avec un ballon dégonflé, la pompe
étant restée à Poitiers, ils nous conduisirent c'était prévu à l'usine
Fleury-Michon la plus proche où nous attendait un contremaitre en blouse
blanche. Heureusement c'était samedi, les employés étaient en repos. Le
brave homme néanmoins nous fit visiter l'abattoir et avec force détail,
mettant sa propre tête au milieu d'une des grosses pinces montées en
batterie, nous montra comment dans la semaine, on électrocutait les
porcs avant de les débiter... Je vais vous faire un aveu, je devais
avoir neuf ou dix ans à l'époque et je me jurai de ne jamais manger un
produit de chez Fleury Michon. J'ai tenu parole autant que faire se peut
car depuis, les marques se sont rachetées les unes les autre et peut
être que mon saucisson du WE vient d'une usine du groupe qui ne dit pas
son nom ... En attendant, ces braves curés voulant être modernes m'ont
traumatisé à un point que vous ne pouvez imaginer... Quand je lis
Fleury-Michon je vois des pinces, des pinces à cochons et à
électrochocs... Maintenant quand on a comme emblème un mec clouté sur
deux bouts bois, le sort des porcs semble léger... !
08 octobre, 2013
associations d'idées et correspondances
Berceau berçant des violes
Un ange s'est caché
Dans le placard aux fioles
Où l'on me tient couché...
Charles Trenet La folle complainte
Un ange s'est caché
Dans le placard aux fioles
Où l'on me tient couché...
Charles Trenet La folle complainte
07 octobre, 2013
Petit poème en prose, " du genre coquin " comme on disait jadis
Colin-maillard
Jouant à colin-maillard sous la verrière un jour de pluie, c'est, bien sûr, au toucher que tu m'as reconnu(e).
Mais comment as-tu su ? deviné ? Était-ce à l'étoffe ou à ce qu'elle moulait ?
Quand rejouerons-nous à colin-maillard ?
Jouant à colin-maillard sous la verrière un jour de pluie, c'est, bien sûr, au toucher que tu m'as reconnu(e).
Mais comment as-tu su ? deviné ? Était-ce à l'étoffe ou à ce qu'elle moulait ?
Quand rejouerons-nous à colin-maillard ?
06 octobre, 2013
Un peu de beauté, c'est bien non ?
En 1970 visitant le musée d'Éphèse, bien que je sois le moins pédophile du monde, je tombai en arrêt devant cette tête d'Éros attribuée à Lysippe , le statuaire d' Alexandre. Douceur, mélancolie... et si l'amour c'était aussi un peu de ça....
05 octobre, 2013
La série des Sales Tronches
Comme j'ai inauguré la semaine dernière la
série des Sales Tronches avec Christine B. comme on dit chez Duras, je
vous offre aujourd'hui un homme, même s'il lui arrive parfois pour des
raisons strictement professionnelles s'entend ! de porter une robe
rouge, comme Anne Roumanof . Il s'agit de Monsieur XXIII. Pas le sublime
pape du même chiffre, non, de l'autre.
Méfiez vous de cet homme : son "tau" est un étau...
souvent imités, jamais égalés !
rien
que pour les tenues, les coiffures, et surtout l'impassibilité du
clavier avec sa cravate, sa petite moustache et puis enfin , les paroles
pleines d'acide... pour ceux qui se souviennent
Florence Bourdin, ou pourquoi dire des bêtises quand on n'est pas obligée
A l'instant sur France Inter dans "La librairie Francophone" une
certaine Florence Bourdin, de la librairie "Mot de passe", à Neuchâtel,
parle d'un livre qui s'appelle "Georgia" et qu'elle a beaucoup aimé.
C'est l'histoire d'une femme, Georgia, artiste junkie qui vit une courte
histoire d'amour avec un africain sans papiers ? Elle termine son
intervention en disant que tout ça mène automatiquement à se rappeler la
chanson de Ray Charles, "Georgia" ... Le problème c'est que cette
chanson n'a jamais parlé d'un femme mais de la Georgie natale du
"genius" ...
Encore une occasion ratée de ne pas dire de conneries...
Encore une occasion ratée de ne pas dire de conneries...
03 octobre, 2013
Je me plains, j'ai le droit !
J'ai de moins en moins d'états d' âme...
C'est faux, j'en ai de plus en plus...
Comme Claudel à Notre-Dame ( ! )
Près d’un pilier je suis perclus
De doutes, aussi de certitudes.
Perclus ? Oui , car c’est douloureux.
On est marteau , on est enclume,
On est goudron et l’on est plume...
On ne choisit pas, malheureux !
On prend les coups de tous cotés
On fait avec... et c’est assez....
Vous allez dire que j’exabuse
Que je crie sans fin au martyre
Que tout ça, en fait, n’est que ruse
Pour vous faire pleurer sur mon sort
Quand je ferais bien mieux d’en rire
Attendant sagement la mort...
de l'importance de...
The importance of having a man
ou
de L'importence d'avoir un mec (toutes tendances confondues) je vous l'ai traduit en hâte même si ce n'était pas nécessaire
Il va de soi qu'on peut remplacer "man" par "girl"... dans tous les cas de figures et combinaisons possible !
1. It's important to have a man, who helps at home, who cooks from time to time, cleans up and has a job.
1 .C’est important d’avoir un mec qui vous aide à la maison, qui cuisine de temps en temps, fait le ménage et bosse
2. It's important to have a man who can make you laugh.
2. C’est important d’avoir un mec qui vous fait rire
3. It's important to have a man who you can trust and who doesn't lie to you.
3. C’est important d’avoir un mec en qui on peut avoir confiance et qui ne ment pas
4. It's important to have a man who is good in bed and who likes to be with you .
4. C’est important d’avoir un mec qui soit un bon coup au paddock et qui soit heureux d’être avec vous
5. It's very, very, very important and you must know that : that these four men do not know each other.
5. Mais ce qui est très, très, très, important, et vous devez le savoir : c’est que ces quatre mecs ne se connaissent pas entre eux...
ou
de L'importence d'avoir un mec (toutes tendances confondues) je vous l'ai traduit en hâte même si ce n'était pas nécessaire
Il va de soi qu'on peut remplacer "man" par "girl"... dans tous les cas de figures et combinaisons possible !
1. It's important to have a man, who helps at home, who cooks from time to time, cleans up and has a job.
1 .C’est important d’avoir un mec qui vous aide à la maison, qui cuisine de temps en temps, fait le ménage et bosse
2. It's important to have a man who can make you laugh.
2. C’est important d’avoir un mec qui vous fait rire
3. It's important to have a man who you can trust and who doesn't lie to you.
3. C’est important d’avoir un mec en qui on peut avoir confiance et qui ne ment pas
4. It's important to have a man who is good in bed and who likes to be with you .
4. C’est important d’avoir un mec qui soit un bon coup au paddock et qui soit heureux d’être avec vous
5. It's very, very, very important and you must know that : that these four men do not know each other.
5. Mais ce qui est très, très, très, important, et vous devez le savoir : c’est que ces quatre mecs ne se connaissent pas entre eux...
01 octobre, 2013
Un rendez-vous manqué...
Pelleas et Mélisande
Dans la forêt très noire gît une jeune femme
Aux longs cheveux épars qu’éclaire un rais de lune.
L’homme ne la voit point, songeant à sa fortune
Et pressant son cheval, il évite le drame.
Golaud, car c’est bien lui, disparaît dans la lande.
C’est ainsi qu’il ignore la douce Mélisande.
Au diable l’adultère, source de réprimande,
Et Pelléas épouse une grasse flamande...
assureurs ? assurément peu honnêtes...
Bon,
je sais c'est trivial mais mon automobile, bugnée par un ami est à peu
de frais réparable. Ne croyez surtout pas ce que votre assureur en
chemise mauve et cravate assortie vous dit... Il a probablement un
accord avec un garage dont il prétend qu'il est le seul agréé.