
Quand nous avons regagné la voiture nous avons vu à l'abri d'un énorme rocher une bâtisse très basse, en pierres sèches que nous n’avions pas vue en arrivant. Et curieusement venant d’on ne sait où, de derrière des rochers, des hommes, des femmes les bras chargés de victuailles et de bouteilles de vodka et quelques enfants très joyeux. Assis sur une pierre un vieil homme coiffé de sa haute toque en astrakan doré. La femme de l’attaché culturel est allé lui parler. Il ne demandait pas mieux. Elle traduisit. Il ne regrettait en rien la présence passée des russes dont il parlait, paraît-il, parfaitement la langue. La fête qu’on préparait dans la maison derrière lui ? voyons ! Allez à Ateshgah, nous conseilla-t-il. Ateshgah, les temples du Feu... Zoroastre... La fête qui se préparait était bien, comme on l'imaginait, un rituel zoroastrien.
Nous savions que la chose existait. J’avais rencontré deux ans auparavant à Baku une jeune fille qui nous avait dit que cette religion née ici se pratiquait toujours. Deux jours après, je me fis conduire à Ateshgah, je vous en ai déjà parlé...cf :
Nous savions que la chose existait. J’avais rencontré deux ans auparavant à Baku une jeune fille qui nous avait dit que cette religion née ici se pratiquait toujours. Deux jours après, je me fis conduire à Ateshgah, je vous en ai déjà parlé...cf :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire