Ces histoires de burqa ça me rappelle un truc marrant et qui vous montrera que tout ça, c'est pas si simple.... Quand j'habitais dans le XX°, il y a maintenant une douzaine d'années, du coté de l'avenue Gambetta, j'avais pour voisins du dessous une famille musulmane radicale, à l'époque y en avait pas tant que ça. Le père oeuvrait à la mosquée de la rue Jean-Pierre Timbaud où il se rendait dès le matin courageusement habillé en "bavure", il devait se faire contrôler à chaque aller-retour.... Ils étaient tous de petite taille, algériens ? marocains ? je n'ai jamais su. Ils étaient très sympathiques et curieusement très rigolos, je veux dire très joyeux. Quand je dis ils, je devrais surtout dire elles, car pour son malheur le brave hadj n'avait pas de fils... Il avait en revanche trois filles, délurées, espiègles, très jolies, un poil aguicheuses et d'année en année post-pubères, puis, comme maman, voilées. On sentait sur ses épaules de père peser comme une malédiction... Que des femmes... Alors bien sûr quand il était sorti, hors de question pour elles dès leur retour de classe (où, j'y pense maintenant, elle se rendaient sans problème, le foulard sur la tête) d'ouvrir à quiconque. Et souvent, le soir, quand il rentrait fourbu de sa journée de prière, marqué au front du cal des vrais dévots, il restait parfois une demi-heure sur le pallier devant sa porte, les garces à l'intérieur refusant en pouffant d'ôter la clé de la serrure pour qu'il y mît la sienne, faisant semblant de ne pas l'entendre, avant de ne pas le reconnaître...
Bi wi, j'ai vécu ça aussi, d'adorables voisins...parfois rtellement surpris que je leur dise bonjour! Des ges méprisés parce que zarabs et musulmans. C'est effrayant.
RépondreSupprimerEt les filles qui remettaient leur voile en revenant de l'école, alleaieent se démaquiller dans les chiottes du fond de la cour qui ne servaient plus qu'à ça!
Et puis le jour où j'ai prêté une table parce que des amis à eux venaient en ombre et qu'ils étaient reconnaissants comme si j'étais François d'assise! Dans leurs vie d'opprimés, le moindre geste ordinaire, courant, le moindre service de voisinage devient une sorte de miracle! c'est odieux de penser qu'on en est là!
Ils m'ont gavé de gâteauxqui font grossir, plein de miel et tout simplemetn parce que je suis courtois et non-raciste...
Ce qui ne m'empêche pas de vomir l'islam et le catholicisme, le bouddhisme et les foot!
Mais il faut respecter les gens;Les aimer;même, peut-être! Marre du racisme!
Hors landau
genial.ça me fait penser a une autre histoire
RépondreSupprimerune fois la 2cv était en panne, ma mère devait la remorquer, elle au volant de la Chevrolet, le vieux au volant de la citroen.
On attache une corde entre les deux bagnoles. Et hop c'est parti.
10 km à fond les gamelles, ma mère ne regarde jamais dans un rétroviseur, c'est un principe. 2CV contre Chevrolet, 2cv volant derrière comme une plume
Elle te l'a secoué, fait prendre les virages de la mort à 90 km / heure, 110 en ligne droite; les coups de freins, les redémarrages les croisements, hop , je fonce, les dépassements de troupeau de vache sur la route, à donf roule roule roule. Il avait beau klaxonner; rien ne change; la même course folle. Arrivés à la maison, il est sorti tout vert de la 2cv, en hurlant et sans doute avec la trouille de sa vie.
Elle : "ah bon ? trop vite? dangereux? j'ai rien vu, j'ai rien entendu".
C'est ça l'amour sans doute