Heureusement pour oublier les horreurs du jour, il y a Giscard-le-Queutard. Il est génial le vieux bandard ! Moi, cette histoire de bouquin à se branler dans les mouroirs me réjouit. Il est incroyable, l'"octogénitoire". Après avoir été le premier de la classe, le bien élevé, celui qui met sa main devant son cul quand il pète, celui qui, à part quelques retours de virées nocturnes pendant son mandat (au moins lui, il ne craignait pas de sortir de l'Elysée tout seul...) affichait une vie bourgeoise et de bon aloi, et bien voilà-t-y pas qu'il nous nique un potentiomètre. Apprendre que depuis plus de vingt-cinq ans un ex-président de la république française se masturbe tous les jours ou besogne bobonne en pensant à la désormais défunte princesse de Galles est pour le moins croquignol. Et puis il est terrible car dans ce roman paraît-il à clé, il se présente comme "veuf"... Putain ! depuis qu'il a signé le "bon à tirer", l'ambiance chez les Giscard au moment du pastaga sous les moulures et les lambris, ça doit être grandiose.
ah mon retour de mini-vacances couronné de ton article ici et je jubile, je le trouve vachement sympa, moi, Giscard, d'avoir osé.
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