Les députés vont voter à l'unanimité une loi qui permettra d'indemniser à hauteur de 49 euros par jour les gens qui se mettent en congés pour accompagner un mourant, oh, pardon, une personne en fin de vie, mais pendant trois semaines seulement... Après, pfft ! terminé la pension. Mais c'est qu'il est pas mort mon mourant ! pas pressé qu'il est ! Bon, alors, Monsieur mon Député, qu'est-ce que je fais, s'il s'attarde, s'il perdure ? je l'aide à respecter la date limite, bref, je le trépasse ou bien je rentre, le laissant finir sa vie sans moi ?
.
.
Ah ouais, fallait jumeler avec une graaaaande réflexion nationale sur l'euthanasie.
RépondreSupprimerJe propose des pénalités de retard par jour de vie supplémentaire à prélever sur la succession du mourant!
RépondreSupprimerSinon, question 1, si t'as mal estimé le temps de vie restant à la Mémé et qu'elle claque au bout de 3 jours, as-tu le droit (comme pour le congé maternité ou l'indemnisation chômage) de garder tes droits ouverts et de reporter les jours qui te restent sur la fin de vie de Pépé ou d'une personne de ton choix ?
Question 2:Pour bénéficier de l'alloc, faut-il avoir l'accord du mourant? Faut-il des liens de parenté avec lui? Sinon, ça peut faire un excellent job d'appoint pour les mecs de PSA en chômage partiel, un "complément de revenus" non négligeable en temps de crise...