26 novembre, 2008

Les Taties Flingueuses

Ce qu'il y a de chouette avec Lautner/Audiard, c'est qu'on trouve toujours avec eux matière à illustrer l'actualité.

Ségolène - T'as quand même pas pris au sérieux cette histoire de succession?
Martine - Quoi, fallait pas ? Ben j'ai eu tort !
Ségolène - Et voilà !
Vincent - Tu vois Ségo, c'était pas la peine de s'énerver, Martine convient...
Ségolène - Y en a qui abuseraient de la situation mais... Vincent et moi, c'est pas notre genre. Qu'est-ce qu'on peut faire qui t'obligerait?
Martine - Décarrer d'ici. J'ai promis au Parti de m'occuper de ses affaires. Puisque je vous dis que j'ai eu tort, là ! Seulement tort ou pas tort, maintenant, c'est moi la patronne. Voilà !
Vincent - Écoute, on te connaît, mais laisse-nous te dire que tu te prépares des nuits blanches, des migraines, des "nervous breakdown" comme on dit de nos jours !
Martine - J'ai une santé de fer : voilà quinze ans que je vis chez les Ch'tis, que je me couche avec le soleil, que je me lève avec les poules...
François - Y' a du suif rue de Solferino, trois militants qui chahutent le récolement ; les assesseurs ont les foies pour les urnes... ils demandent de l'aide...

Voici, à peine adaptée, des Tontons Flingueurs la fin de la scène 2, dans le bowling du mexicain.
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2 commentaires:

  1. Anonyme6:18 PM

    excellent!!! On voudrait la suite de l'adaptation... Faut pas oublier qu'il y a les Volfoni en face!

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  2. Soyez rassurée, dès que je trouverai une nouvelle et étonnante analogie, ce qui ne devrait pas tarder, je vous en ferai part... Cela dit, je n'ai changé(bien entendu) que les noms, et en tout et pour tout 6 mots, et supprimé un seul...

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