Ce matin, Christine Boutin, ministre et catholique est interviouvée à propos de l'hiver qui arrive et des gens qui commencent, comme l'an passé à en mourir, et avant l'heure, de l'hiver. Le sauvage mort dans une cahute dans le bois de Vincennes la nuit d'avant ? Elle ne peut rien y faire... il était "désocialisé" sic ! Le jugement qui saigne le DAL de 12.000 euro et la confiscation des tentes des Enfants de Don Quichotte ? Elle n'y est pour rien, c'est une "décision de justice"... Madame Boutin à force de se laver les mains va bientôt se payer des gerçures, des crevasses, des excoriations... Ah, j'oubliais, elle a l'eau chaude, elle, ainsi qu'un robinet pour se les laver, les mains...
Vos arguments, chrétienne que vous êtes, sont de ceux que vous eussiez tenus, sans rire, au pied de la croix, arguant de ce que le Christ était bien suicidaire et que le jugement qui l'avait condamné, n'était en rien de votre fait...
Moi qui suis, autant que vous, profondément chrétien, Madame Boutin, je vous l'annonce, vous irez en enfer ! Pas même au purgatoire, non, directement dans la fournaise où des petits diables espiègles et taquins vous rôtirons ces fesses que vous calez avec soin dans votre fauteuil ministériel tandis que vos amis empêchent les sans abris de poser les leurs sous des tentes salvatrices dont vous osez prétendre qu'elles ne sont qu'un pis-aller, une alternative au rabais offerte pour de mauvaises et politiques raisons par ceux qui les fournissent.
Honte ?
Il y a certainement dans votre bibliothèque et entre deux missels, un dictionnaire dans lequel vous pourrez découvrir ce sentiment dont vous semblez ignorer et le nom et le sens.
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Vos arguments, chrétienne que vous êtes, sont de ceux que vous eussiez tenus, sans rire, au pied de la croix, arguant de ce que le Christ était bien suicidaire et que le jugement qui l'avait condamné, n'était en rien de votre fait...
Moi qui suis, autant que vous, profondément chrétien, Madame Boutin, je vous l'annonce, vous irez en enfer ! Pas même au purgatoire, non, directement dans la fournaise où des petits diables espiègles et taquins vous rôtirons ces fesses que vous calez avec soin dans votre fauteuil ministériel tandis que vos amis empêchent les sans abris de poser les leurs sous des tentes salvatrices dont vous osez prétendre qu'elles ne sont qu'un pis-aller, une alternative au rabais offerte pour de mauvaises et politiques raisons par ceux qui les fournissent.
Honte ?
Il y a certainement dans votre bibliothèque et entre deux missels, un dictionnaire dans lequel vous pourrez découvrir ce sentiment dont vous semblez ignorer et le nom et le sens.
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J'applaudis des deux mains.
RépondreSupprimerJe ne fais pas avancer le débat par ce geste, tant pis.