Je suis mort, je crois,
le jour où deux gamètes
se rencontrèrent
et firent affaire...
Car une heure après, quelques cellules, en se multipliant comme des folles, fabriquaient avec soin mon destin létal... me faisant croire que j'allais vivre, alors qu'elles préparaient ma mort ...
A le vilain malentendu !
le jour où deux gamètes
se rencontrèrent
et firent affaire...
Car une heure après, quelques cellules, en se multipliant comme des folles, fabriquaient avec soin mon destin létal... me faisant croire que j'allais vivre, alors qu'elles préparaient ma mort ...
A le vilain malentendu !
Bah oui, la vie, c'est bien sur une "maladie mortelle et sexuellement transmissible"... Boah, tant qu'on peut rigoler un peu pendant sa phase d'agonie... "Rions un peu en attendant la mort", disait Desproges...
RépondreSupprimerEn aparté.
RépondreSupprimerEn ce moment,j'ai le mot en berne...
Mille bises,à la revoyure.
Bien sûr qu'on rigole !
RépondreSupprimerZoun ,
RépondreSupprimerà la revoyure certes, mais pas dans trop longtemps...
Bises
"Et quand mon heure viendra d'aller trouver la mort,
RépondreSupprimerJ'aurai vécu sans soin et mourrai sans remords."
De qui est-ce à votre avis ? (je suis d'humeur interro écrite ce matin...)
Bisous
Mais c'est de votre ami Jean de la Fontaine
RépondreSupprimerJ'ai trouvé une version un poil différente :
"Et quand mon heure viendra d'aller trouver les morts,
J'aurai vécu sans soin et mourrai sans remords."
Bisous miss-interro !