C'est ainsi qu'un jour, gamin, à l'époque où pour plaire à maman et surtout ne pas
avoir d'emmerdes, j'allais encore à la messe, j'y partis un dimanche
avec comme missel, trompé par le fameux papier bible, le Rabelais de
mon père dans la Pléiade...
C'est l'avantage des volumes de la Plaïade : tu dessines une croix (un peu catholique !) dessus et, ni vu ni connu, tu files à la messe avec François Villon sur les genoux !
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