11 février, 2014

Je découvris Rabelais, comme Jarry et quelques autres par mon père, humaniste et homme de goût, .


C'est ainsi qu'un jour, gamin, à l'époque où pour plaire à maman et surtout ne pas avoir d'emmerdes, j'allais encore à la messe, j'y partis un dimanche avec comme missel, trompé par le fameux papier bible, le Rabelais de mon père dans la Pléiade...

1 commentaire:

  1. C'est l'avantage des volumes de la Plaïade : tu dessines une croix (un peu catholique !) dessus et, ni vu ni connu, tu files à la messe avec François Villon sur les genoux !

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