26 novembre, 2013

Le Feu Follet de Louis Malle, vu hier soir sur you tube




Je n'avais jamais vu ce film culte. J'ai trouvé ça bien nul (le roman l'est-il autant ?) ... On sait au bout de trois minutes qu'il va se flinguer, cinq après pourquoi. Huit minutes auraient donc suffit.
Bien sûr à chaque plan et souvent en gros plan, il y a Ronet. Beau, très beau, Maurice, qui le sait, et qui fait admirablement bien l'acteur qui souffre, manière James Dean germanopratin, face à une société qu'il méprise, sa gueule d'ange déchu devenant d'image en image à raison de 24/seconde, une simple tête à claque. Le Lüger terminal, enfin, nous libère. Ouf ! ç'aurait pu durer encore une heure de plus...
Oublions ce bidule et retournons voir un sujet assez proche : le mal être, revoyons donc au plus vite la Dolce Vita...

2 commentaires:

  1. Oui, mais comme tu le dis, Ronet, tout de même.

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  2. ben oui et sur toutes les coutures, assis, debout, couché, seul, pas seul, marchant, courant, mais toujours, toujours totalement habillé, le nudité quasi absolue consistant à ne pas porter de cravate ! pas un petit bout de peau, juste à la fin, 2 cm2 au dessous du téton gauche au moment de viser le cœur... bref, du gâchis !

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