Je n'avais jamais vu ce film culte. J'ai trouvé ça bien nul (le roman
l'est-il autant ?) ... On sait au bout de trois minutes qu'il va se
flinguer, cinq après pourquoi. Huit minutes auraient donc suffit.
Bien sûr à chaque plan et souvent en gros plan, il y a Ronet. Beau, très beau, Maurice, qui le sait, et qui fait
admirablement bien l'acteur qui souffre, manière James Dean
germanopratin, face à une société qu'il méprise, sa gueule d'ange déchu devenant d'image en image à raison de 24/seconde, une simple tête à claque. Le Lüger terminal,
enfin, nous libère. Ouf ! ç'aurait pu durer encore une heure de plus...
Oublions ce bidule et retournons voir un sujet assez proche : le mal être, revoyons donc au plus vite la Dolce Vita...
Oui, mais comme tu le dis, Ronet, tout de même.
RépondreSupprimerben oui et sur toutes les coutures, assis, debout, couché, seul, pas seul, marchant, courant, mais toujours, toujours totalement habillé, le nudité quasi absolue consistant à ne pas porter de cravate ! pas un petit bout de peau, juste à la fin, 2 cm2 au dessous du téton gauche au moment de viser le cœur... bref, du gâchis !
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