21 septembre, 2013

Philippe Meyer, mais c'est pas possible, il y couche !

Ce matin par hasard, je me suis laissé , ayant des choses à faire, piéger par l'ineffable Philippe Meyer, le Art Buchwald  Modem  du pauvre, le Tristan Bernard des médiocres, le Guitry des microcéphales.  J'en ai déjà causé, mais comme je pouvais m'éviter de l'écouter, j'avais fini par l'oublier. Ca fait des années qu'il traine, de semaine en semaine d'année en année  toujours  à la même heure de peur qu'on le manque, ses saillies formatées qu'il annonce  régulièrement comme une clochette  d'un pré-rire audible  à l'antenne. Savez vous que quatre saisons par an, vous avez votre Meyer du samedi, même l'été ! Cet homme-là ignore les vacances au point de nous en refuser. A croire qu'il dort dans son studio  pour éviter de perdre sa place. 
Un jour on retrouvera dans la maison ronde son cadavre de nonagénaire sur fond de Maillotins en boucle...  Hilare, victime d'un de ses traits d'humour particulièrement  foudroyant,   bref M D R, ou  comme  disent les djeun's ... 

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