Bacchus et Ariane par Guido Reni, commentaire en vers de votre serviteur...
Quand Ariane bernée par l’ignoble Thésée
Se trouve par Bacchus ardemment courtisée
Elle est prête à céder, tant le chagrin l’habite
Mais celle du grand dieu lui semble bien petite
Lâche un peu ta douleur et prends-la donc en main.
RépondreSupprimerEt tu verras sur moi, si tu y mets l'entrain,
Grandir le vermisseau qui deviendra gourdin.
Un dieu sur ce plan-là est semblable aux humains!
On dit que l’on peut être saisi d’une stupeur
RépondreSupprimerA voir, inattendu, se déployer un vit
Qu'on pensait incapable d'atteindre telle ampleur...
Pour moi, jusqu’à présent ce n’est que de l’on dit...
Ariane voulait qu'elles tombent, toutes cuites en la main.
RépondreSupprimerElle recherchait en vain, les deux choses pendantes.
Mes noisettes grillées, ce n'est pas pour demain !
Et remballant le tout, ce n'est pas pour ta fente !