Un étude sérieuse démontrerait que certains membres actifs de groupes catholiques anti-mariage pour tous intégristes ou non et qui commencent à donner des signes inquiétants de paranoïa homophobe auraient sans le savoir et depuis quelques mois consommé à la messe dominicale ou à celle anticipée du samedi des hosties imprégnées d'une drogue dure que les laboratoires n'ont pas encore pu identifier tant sa substance active est d'une structure des plus complexes formée semble-t-il d'une molécule de connerie associée de manière covalente à de redoutables atomes de malveillance et de haine dont les électrons, libres ou non, sont particulièrement efficaces.
Il semblerait aussi que ces hosties seraient, de surcroit, comme la cocaïne, fortement addictives. D'autres estiment que leurs effets seraient proches de ceux du L S D, acronyme hallucinogène plus connu sous le nom de Loué Soit le Diable.
On envisage le plus sérieusement du monde qu'une ex-night-clubeuse ménopausée et pseudo-journaliste quasi septuagénaire passée directement du claque à la sacristie soit la dealeuse en chef de cette dope infâme qui plus est, transmissible aux enfants tout au long des manifs..
La police scientifique pour la neutraliser oriente ses recherches entre sanisettes usagées et bénitiers taris.
On envisage le plus sérieusement du monde qu'une ex-night-clubeuse ménopausée et pseudo-journaliste quasi septuagénaire passée directement du claque à la sacristie soit la dealeuse en chef de cette dope infâme qui plus est, transmissible aux enfants tout au long des manifs..
La police scientifique pour la neutraliser oriente ses recherches entre sanisettes usagées et bénitiers taris.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire