13 avril, 2013

La banalité du mal, suite du précédent

J'entends ce matin à la radio un policier italien spécialiste de la Mafia et membre du jury du Salon du  Polard de Beaune. 
Il parle un français impeccable et ne dit rien d'autre que ce que disait Arendt. On s'aperçoit quand on les coince, que les chefs de la Mafia, si puissants et si violents qu'ils soient ne sont que de petits bonshommes  d'une allure parfaitement banale,  sans le moindre charisme fût-il vénéneux,  pour la plupart illettrés... mais d'une méchanceté efficace absolue.   

Banalité du mal, toujours.

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