10 mars, 2013

Laurence Parisot et la mémoire des morts

Laurence Parisot, le cadavre à peine froid déverse avec sa classe habituelle et sa douceur médullaire de petite caissière psychorigide,  sa bile vinaigrée sur Hugo Chavez, affirmant de ce ton péremptoire qui est son habitude, ce qui reste à prouver, qu'il laisse son pays dans la panade financière et surtout qu'il fut un dictateur.

Rappelons à Madame Parisot que, dictateur ou non, Chavez qui fut élu et réélu de la manière reconnue la plus régulière du monde, ne changea jamais, lui, le code électoral à l'approche d'un nouveau mandat.

Un dictateur élu, Madame Parisot, ce n'est pas un tyran, c'est juste un oxymore...

1 commentaire:

  1. Anonyme8:25 AM

    Lamentable madame Parisot, plutôt que de donner des leçons de démocratie à feu Monsieur Chavez (élu et rélu), ce n'est pas en changeant un règlement en cours pour briguer un troisième mandat que l'on est exemplaire comme démocrate.
    Mais bon le populisme de madame Parisot auprès de ses adhérents n'est plus à démontrer.Mais bon le patronat n'est pas à une contradiction prêt.

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