En rentrant de la manif, dans le métro, à deux stations de Bastille deux reubettes de vingt ans aux fraises avec le chiard de l'une des deux de 4 ans à peine qu'elle gave de frites bien grasses, traitent au moment où il entre dans le wagon un mec qui les pousse un peu, de "gros pédé". Réprobation générale, discussion. Elle s'en fout, elle assume, en jean sous-cutané, mais homophobe, y a pas de raison. Je lui annonce que son mioche il sera peut-être pédé un jour, ça la met en transe, mais c'est quand je lui demande si elle vit en couple avec sa copine, si c'est la "deuxième mère", que celle-ci veut sur place "m'enculer avec sa bitte ! "
A la station suivante, elle profite de ce que je sors pour m'asséner une claque sur le dos de la tête. Je me retourne pour lui balancer un coup de lattes dans le bas ventre histoire de lui remettre les ovaires en place... La porte automatique se referme. J'ai beau ne pas être méchant, je me dis quand même qu'il y a des jours où les tournantes se perdent...
Cher pp
RépondreSupprimerVous vivez dangereusement! Mes élèves féminines, elles, "s'en battent les couilles" de ce que je dis en cours.
Biz
Angevine
Moi j'aime bien ces expressions !
RépondreSupprimerCette nuit j'ai rêvé, en vrai, que j'abordais pour les filmer :
1°des filles en leur demandant de dire très sérieusement: - j'm'en bats les couilles
2° et des garçons en leur demandant de dire très sérieusement et de façon très inspirée : - ce matin, j'ai mes vapeurs.
Et j'imaginais en rêve, mais en vrai, l'effet d'une telle succession de scènettes identiques ou presque à visionner...
Tout ça mis à part, homophobes hommes ou femmes, moi aussi, j'ai envie de les latter ! Et il y en a encore des paquets de ces cons-connes.