Emmanuelle, j’épousai ton aimable fessier
Ta peau de nacre douce, tes rêveries obscures...
Je fus le cadre blanc de ces pensées impures
Qu’ingénue tu offrais du creux de mon osier
Je ne suis désormais qu’une épave noirâtre
Abandonnée au fond d’un grenier incertain
Où es-tu désormais, où est ton teint d’albâtre ?
Nous eûmes tous les deux un bien triste destin...
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