J'ai d'excellents amis de droite. Ils me font part de leur deuil, leur détresse due au retour des rouges au pouvoir qui ont chassé leur grand homme Nicolas Sarkozy. J'essaie de comprendre. Qu'on soit de droite, même si je n'adhère pas, je peux comprendre, je suis pas obtus. Mais qu'on soit sarkozyste, passez moi l'expression, moi, ça me troue le cul... Comment, quand on est de droite, élégant, cultivé, tolérant, comme le sont ces amis dont je parle, peut-on admirer la vulgarité, l' illettrisme, l'incertitude éthique, bref, une idée de la politique tout terrain, par vent par pluie par neige et canicule... J'ai beau leur dire : Juppé ! feu Seguin ! Rien à faire... Leur réponse c'est leur idole c'est Sarkozy... Ca s'appelle la fascination, je sais. Ca relève de l'irrationnel. Je
renonce donc avec eux à toute explication raisonnable.
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