"The Magic Wood" de Joan Baez sur un poème psychédélique et tolkienien en diable du "merveilleux" Henry Treece que je cherchais depuis des mois. Quand ce disque est sorti en 1969 je passais cette chanson en boucle... L'ostinato instrumental qui l'accompagne est, faut dire, particulièrement soigné. Une (courte) merveille. N'oubliez pas : Henry Treece.
Moi aussi, j'aime beaucoup. Sauf que...
RépondreSupprimerSauf que, quand elle se déplace à Paris, t'en as pour la peau des couilles une place de concert, en plus dans une salle où tu vois que dalle t où t'es mal assis. Du coup... un peu tombée dans mon estime la dame de "gauche" !
oui... je sais.De gôche... Bob Dylan ou Montand eux non plus !
RépondreSupprimerLe bruit courrait même, mais ce n'est qu'une rumeur, qu'elle avait dans les années 70 investi ses droits d'auteur dans une usine d'armement...
Mais je n'aime d'elle que cette chanson et ce disque. Le reste m'a toujours gonflé... Particulièrement le très énervant "Here's to you".
Merci P.P. pour l'ostinato, mot que je recherchais pour le mettre dans mon dictionnaire "Du çon pour les ânes".
RépondreSupprimerJe ne comprend pas les paroles du bois magique, ça va trop vite, mais j'imagine et c'est beau.
A part ça, faudrait être réaliste et tolérant ! Quand on a du fric, de "gauche" comme de "droite", faut bien le mettre quelque part ! Dans une lessiveuse ou dans le bois d'ébène, faut bien vivre comme disait Boris Vian qui aurait bien aimé avoir un franc cinquante... Voire trois francs six sous !
J'ai précisé qu'il s'agissait d'une rumeur à un époque où Joan Baez militait activement contre la guerre au Viet Nam
RépondreSupprimerPour ce qui est de l' "ostinato", c'est le seul terme technique qui s'applique à la chose...
Quand aux paroles, les voici :
The wood is full of shining eyes,
The wood is full of creeping feet,
The wood is full of tiny cries:
You must not go to the wood at night!
I met a man with eyes of glass
And a finger as curled as the wriggling worm
And hair all red with rotting leaves
And a stick that hissed like a summer snake
The wood is full of shining eyes,
The wood is full of creeping feet,
The wood is full of tiny cries:
You must not go to the wood at night!
He sang me a song in backwards words,
And drew me a dragon in the air.
I saw his teeth through the back of his head,
And a rat's eyes winking from his hair.
The wood is full of shining eyes,
The wood is full of creeping feet,
The wood is full of tiny cries:
You must not go to the wood at night!
He made me a penny out of a stone
And showed me the way to catch a lark
With a straw in a knot and a whispered word
Penny worth of ginger wrapped up in a leave
The wood is full of shining eyes,
The wood is full of creeping feet,
The wood is full of tiny cries:
You must not go to the wood at night!
He asked me my name and where I lived
I told him a name from my book of tales
He asked me to come with him into the wood
And dance with the kings from under the hills
The wood is full of shining eyes,
The wood is full of creeping feet,
The wood is full of tiny cries:
You must not go to the wood at night!
But I saw that his eyes were turning to fire
And I watched the nails grow in his wriggling hand
And I sent my prayers all out in a rush
And found myself safe on my father’s land
The wood is full of shining eyes,
The wood is full of creeping feet,
The wood is full of tiny cries:
You must not go to the wood at night!
tu auras remarqué qu'elle dit
"She" et non "you" must not go to the wood at nught
Merci PP pour ces paroles. Quant aux commentaires par rapport à la dame de gauche, je n'ai jamais bien compris pourquoi il faudrait, dès lors qu'on est de gauche, vivre dans le dénuement. J'ai des amis qui ne roulent vraiment pas sur l'or, et ils votent bien (...) à droite. De toute manière, étant une inconditionnelle de Joan Baez, elle pourrait bien avoir tous les défauts qu'elle veut...
RépondreSupprimerAimeci
merci, merci !
RépondreSupprimer