Ce pourrait être dans le privé que ça ne changerait pas grand'chose.
L'an passé, une amie dont le fils en 6ème dans un collège du neuf-deux chic ne déploie pas une énergie énorme à être le meilleur en math, se trouve convoquée par la prof quelques jours avant les conseils de classe. L'enseignante la reçoit très aimablement et après lui avoir énuméré les qualités du jeune homme, lui suggère au vu des résultats de lui faire faire un stage de remise à niveau. Pas chez Acadomia, non, avec elle, ça tombe bien, justement, elle organise le sien, Deux heures par jour sur 5 jours en cours collectif de 10 enfants. Coût : trois cents euros, autant en profiter tout de suite pour l'inscrire puisque la maman est ici. C'est la veille du conseil de classe, elle est coincée, elle raque, la maman. Les dix heures ont été d'une inefficacité redoutable. La prof de math s'est mis 3000 euros dans les fouilles, et ce en utilisant les locaux du collège et une pression sans vergogne.
C'est une histoire vraie, que m'a racontée hier la maman en question.
Tiens, ça me rappelle cet instituteur d'une école chrétienne que j'ai fréquentée qui faisait dans les années 50/60 redoubler les fils de bouchers pour le rôti ou le gigot hebdomadaire.
L'an passé, une amie dont le fils en 6ème dans un collège du neuf-deux chic ne déploie pas une énergie énorme à être le meilleur en math, se trouve convoquée par la prof quelques jours avant les conseils de classe. L'enseignante la reçoit très aimablement et après lui avoir énuméré les qualités du jeune homme, lui suggère au vu des résultats de lui faire faire un stage de remise à niveau. Pas chez Acadomia, non, avec elle, ça tombe bien, justement, elle organise le sien, Deux heures par jour sur 5 jours en cours collectif de 10 enfants. Coût : trois cents euros, autant en profiter tout de suite pour l'inscrire puisque la maman est ici. C'est la veille du conseil de classe, elle est coincée, elle raque, la maman. Les dix heures ont été d'une inefficacité redoutable. La prof de math s'est mis 3000 euros dans les fouilles, et ce en utilisant les locaux du collège et une pression sans vergogne.
C'est une histoire vraie, que m'a racontée hier la maman en question.
Tiens, ça me rappelle cet instituteur d'une école chrétienne que j'ai fréquentée qui faisait dans les années 50/60 redoubler les fils de bouchers pour le rôti ou le gigot hebdomadaire.
3000 €, juste avant Noel, c'est tentant.
RépondreSupprimerMa prof de physique de seconde, une vraie peau de vache, proposait ça aussi, mais elle avait la décence de donner ses cours privés chez elle.
Il paraît d'ailleurs qu'elle était beaucoup plus sympa en privé qu'au lycée.
ben, heureusement, qu'elle était sympa... Elle aurait offert en sus un goûter aux stagiaires que ç'aurait pas été honteux, non ?
RépondreSupprimerpas tous sont comme ça.
RépondreSupprimerMoi je voulais passer l'espagnol au bac plutôt que l'anglais, un prof d'espagnol du lycée m'a aidée à préparer les textes pendant plusieurs mois gratuitement. Il m'avait dit "ayez une bonne note et je serai payé". j'ai eu 19.
Merci monsieur...
Ah mais, je n'ai jamais dit qu'ils sont tous comme ça.
RépondreSupprimerJe m'étonne simplement qu'il y en ait au moins un...
Il faut en tout état de cause citer ces deux cas extrêmes et opposés.
Un haut le cœur en lisant ça! J'ai toujours refusé de donner des cours particuliers à mes propres élèves. Question de me sentir à l'aise avec moi-même. Et ça, ça n'a pas de prix.
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