Pour moi, pour vous aussi, avouez-le, le fait de lire ces contes ou de les entendre nous font comme par magie, cette magie qui les imprègne, régresser pour notre plus grand bonheur de "quelques années" pour mieux et c'est leur but, comprendre notre aujourd'hui ...
Oui, tout sexagénaire que je suis, le culot et la violence du Chat Botté m'impressionnent toujours, sans doute aussi par sa modernité, le Chat Botté est le premier "communicant" de la littérature et de l'histoire de France, de sa mythologie, dans sa réalité historique. Et je pense que c'est une chance de pouvoir s'en rendre compte, toujours...
Dites vous bien, communicants de merde actuels, que l'inventeur des "éléments de langage", votre maître à tous, à toutes, eh bien, ce n'est pas Séguéla et ses potes, c'est le Chat Botté...
Oui, tout sexagénaire que je suis, le culot et la violence du Chat Botté m'impressionnent toujours, sans doute aussi par sa modernité, le Chat Botté est le premier "communicant" de la littérature et de l'histoire de France, de sa mythologie, dans sa réalité historique. Et je pense que c'est une chance de pouvoir s'en rendre compte, toujours...
Dites vous bien, communicants de merde actuels, que l'inventeur des "éléments de langage", votre maître à tous, à toutes, eh bien, ce n'est pas Séguéla et ses potes, c'est le Chat Botté...
J'avoue, sire, j'avoue!
RépondreSupprimerben, elle m'échappe, celle là !
RépondreSupprimerC'est dans quoi ?
C'est dans P.P le Moqueur himself. Je répondais simplement à ta première phrase.
RépondreSupprimermais voui !
RépondreSupprimerLe matin, je suis pas tout de suite d'aplomb...
Tiens, ça me rappelle ce que tu disais l'autre jour à propos des textes qu'on relit sans toujours y retrouver ce qu'on avait aimé.
Les contes, sont tellement ancrés dans ma mémoire que j'y retrouve toujours un bonheur infini.
P.P: aussi surprenant que cela puisse paraître, jamais les élèves d'aujourd'hui ne sont aussi silencieux et attentifs que lorsque tu leur lis un conte ou que tu leur racontes les mythes grecs. Une année, avec une classe difficile que j'avais le vendredi en fin d'après-midi, je leur lisais un roman de Allan W. Eckert, La Rencontre, magnifique histoire d'amitié entre un jeune garçon et un blaireau. Succès garanti. Après tout, c'est bien un de de mes premiers rôles de leur ouvrir l'imaginaire, non?
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