Quai des Orfèvres, génial, dans lequel on voit pour la première fois dans le cinéma français, et peut-être même mondial, une lipstick-lesbienne (Simone Renant superbe) hautaine et avérée.
Et puis le montage de la séquence est étonnant où l'on passe, le temps exact de la chanson, de la découverte de celle-ci dans le studio misérable aux répétitions jusqu'à la représentation scénique au Caf-Conc' . Et puis le charme de Suzy Delair... sa voix.
Le cinéma actuel, c'est normal, faut évoluer, ressemble à la télé, tant mieux, tant pis, je ne sais pas... Ce film, comme d'autres, bien entendu, sent le cinoche, le vrai. D'ailleurs, ça sent ! ça sent le clop, ça sent le théâtre, la salle et le plateau, et les lieux mal chauffés, ils sont tous la plupart du temps en manteau, restrictions, après guerre... ... Ça c'est le génie de Clouzot. Celui de l'époque ? les deux ?
La télé, elle, ne sent que ce qui sort de la cuisine, à côté du salon dont elle occupe un mur...
Et puis le montage de la séquence est étonnant où l'on passe, le temps exact de la chanson, de la découverte de celle-ci dans le studio misérable aux répétitions jusqu'à la représentation scénique au Caf-Conc' . Et puis le charme de Suzy Delair... sa voix.
Le cinéma actuel, c'est normal, faut évoluer, ressemble à la télé, tant mieux, tant pis, je ne sais pas... Ce film, comme d'autres, bien entendu, sent le cinoche, le vrai. D'ailleurs, ça sent ! ça sent le clop, ça sent le théâtre, la salle et le plateau, et les lieux mal chauffés, ils sont tous la plupart du temps en manteau, restrictions, après guerre... ... Ça c'est le génie de Clouzot. Celui de l'époque ? les deux ?
La télé, elle, ne sent que ce qui sort de la cuisine, à côté du salon dont elle occupe un mur...
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