08 août, 2011

Quand je vois une danseuse de Degas,

je ne puis m'empêcher de songer aux masses de musique de merde "de tiroir" que devaient s'enfiler les rôdeurs de coulisses et autres requins de foyer de ses amis pour mater une seconde un dessous de tutu car, désolé, quoi qu'on ne le dise pas, en dépit de son génie, Degas c'est aussi ça, de la peinture de vieux cochons fortunés en quête de chair fraiche .
Mais qu'importe la contrainte musicale à laquelle ils se soumettait, puisqu'il paraît que ça rendait sourd.
J'aime Degas car ça sent la scène, le pancake, l'effort et les aisselles...


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