Écrire en français est, quand même, chose aisée, si c'était si pénible, y aurait pas tant de blogueurs. Écrire, on vous l'apprend dès la première journée ou presque de votre scolarisation. Écrire de la musique, c'est un peu plus compliqué car il va falloir, pour ce faire, et l'éducation nationale ne vous pousse pas au cul, une réelle volonté et la possibilité d'intégrer, après vous être emmerdé à faire du solfège et un tas de trucs pas très intéressants et des plus dissuasifs, une classe de conservatoire où au bout du compte, puisque écrire de la musique est comme écrire en français, une chose simple et innée, on va vous apprendre, si vous avez un bon prof, quelques raccourcis pour vous simplifier la vie. Blindés de prix ou de médailles, on ne sera pour autant ni forcément Bach dans un cas, ni forcément Rimbaud dans l'autre, d'ailleurs on s'en tape...
N'empêche que, certaines personnes qui ont fait, avec trois bonheurs divers, deux tirages minimaux et un succès d'estime, profession d'écriveurs professionnels, supportent mal que des gougnafiers qui ont l'écriture de source se permettent de mettre sur leur blog une fantaisie et un culot parfois ravageurs au service d'une pensée des plus incontrôlables et qui les mortifie parce qu'elle leur échappe ; en un sens, l'équivalent pour eux, d'une sorte d' exercice illégal de la littérature...
Le miracle du blog, quand on écrit parce que c'est une seconde nature et non pour assurer l'intendance, prouver et faire reconnaître un possible et éventuellement monnayable talent ou justifier d'un prétendu statut auprès de pétasses ou de couillons analphabètes et qui, le temps passant, s'étiole et se rabougrit en affichant un supposé savoir, c'est de pouvoir être lu sans se poser de question, ni d'obligation de résultat. Comme ça, pour le fun ! et aussi peut-être, quand même, même si ça énerve, parce qu'on a des choses à dire et qui valent bien ce que professent les professionnels de la profession...
Ces bons et nombreux apôtres, tout crypto-fafs qu'ils sont, rêvent aussi probablement et avec émotion de la glorieuse époque de l’Union des écrivains soviétiques...
N'empêche que, certaines personnes qui ont fait, avec trois bonheurs divers, deux tirages minimaux et un succès d'estime, profession d'écriveurs professionnels, supportent mal que des gougnafiers qui ont l'écriture de source se permettent de mettre sur leur blog une fantaisie et un culot parfois ravageurs au service d'une pensée des plus incontrôlables et qui les mortifie parce qu'elle leur échappe ; en un sens, l'équivalent pour eux, d'une sorte d' exercice illégal de la littérature...
Le miracle du blog, quand on écrit parce que c'est une seconde nature et non pour assurer l'intendance, prouver et faire reconnaître un possible et éventuellement monnayable talent ou justifier d'un prétendu statut auprès de pétasses ou de couillons analphabètes et qui, le temps passant, s'étiole et se rabougrit en affichant un supposé savoir, c'est de pouvoir être lu sans se poser de question, ni d'obligation de résultat. Comme ça, pour le fun ! et aussi peut-être, quand même, même si ça énerve, parce qu'on a des choses à dire et qui valent bien ce que professent les professionnels de la profession...
Ces bons et nombreux apôtres, tout crypto-fafs qu'ils sont, rêvent aussi probablement et avec émotion de la glorieuse époque de l’Union des écrivains soviétiques...
la mission de l'écrivain peut comporte l'engagement politique! Et la lutte contre la droite ignoble! Même si elle est sournoise, hypocrite et raciste! Et fascinée pat pétain dont elle fait sa principale réérence! quelle rigolade! encore, encore! encore!
RépondreSupprimerce qui est écrit est écrit et rien ne peut effacer vos dires répugnants !rien à faire, c'est là, inévitable...alors continuez: il suffit de ressortir vos écrits pur faire vomir! c'et amusant, juste, rigolo...
Ainsi donc, vous voilà dans le collimateur d'un plaideur. Plaie-laideur. Et je trouve bien amené cet article/réponse qui semble avoir été glissé malicieusement sous la porte du tribunal littéraire. Tribunal dans lequel le juge vous a condamné par avance.
RépondreSupprimerAssurément,le doigt qui vous pointe est celui même qui jouait ce matin dans une cuvette avec l'étron de son tendeur courroucé.
Ne fixons donc pas ce doigt, mais, sagement, imaginons-le dans la lune du plaideur. Peut être cela le décrispera-t'il ?
Hum hum... désolé.
Julien D.