23 juillet, 2011

Philippe Caubert et l'aéropage...

Hier, sur France Inter, Philippe Caubert comédien sympathique, engagé, cause du rapport entre l'art et la politique. Il parle des politiciens et de leurs aéropages... pas une fois, deux. Je sais, c'est un classique du genre au même titre que l'enfant prodigue de notre président lors de son commentaire à propos de Roland Petit, danseur précoce.
Un barbarisme pour une impropriété. Je sais, c'est pas grave et je fais chier avec mes couillonnades de puriste. Sauf que, si c'est ma concierge qui cause comme ça, je ne le lui ferai pas remarquer. Mais quand il s'agit de gens dont le fond de commerce est, d'une manière ou d'une autre, la causette, j'ai le droit et je vais pas me priver !

3 commentaires:

  1. Anonyme10:18 AM

    Seulement, dans ce cas, souffrez qu'on stigmatise vos "fautes" à vous... J'en ai relevé quelques-unes... Je ne les ai pas notées.Maintenant, je vous attend au tournant! avec le puriste, il suffit d'attendre...vous en avez fait, vous en ferez, des fautes...
    Honte à tous ceux qui critiquent systématiquement les autres!

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  2. t si ce ne sont pas des coquilles, ou des tournures volontairement fautives du genre manque de négation, de français parlé, ou des néologismes sournois, je les accepterai, n'ayant jamais prétendu à l'infaillibilité.

    Comme toujours, brouillons, et hâtifs et à l'affut, vous me lisez en diagonale, laissant de coté les raisons que j'invoque de mon agacement, tant pis.

    Maintenant, vous l'aurez probablement compris, dans le cas qui nous intéresse, je ne critique pas,je relève.Comme disait feu mon père, "ce n'est pas une critique, c'est une constatation". Car après tout, on n'est pas obligé de dire aréopage, on peut dire bien plus simplement entourage, équipe, pas plus qu'on est contraint de parler d'enfant prodige à propos de Petit quand une heure avant qu'on vous apprenne sa mort on ignorait encore qui c'est...

    Et puis, comme vous, je m'énerve.
    Nous avons bien raison.

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  3. C'est comme cette spécialiste de cinéma à la radio qui prononçait Chiara (Mastroianni) comme chiant! Quand on se dit spécialiste, on ne peut pas se permettre. Moi aussi, ça me mets en rogne.

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