Depuis que je tiens ce blog, je reçois souvent de lecteurs divers des commentaires que je ne publie pas. Je ne les publie pas parce qu'ils seraient brillants, argumentés et farouchement opposés à ce qui dans ce que j'ai écrit les a suscités (ceux-là, je les montre fièrement), je ne les publie pas tout au contraire parce qu'ils sont brouillons, fumeux, abscons-tarabiscotés, dénués d'humour même à l'état de traces et qui plus est assez éloignés d'une vraie et loyale réponse à l'idée, fût-elle désastreuse ou d'une grande mauvaise foi, que j'aurais exprimée, quand ils ne virent pas, par indigence ou flemme intellectuelle, au procès d'intention pour finir par l'injure jobarde, assez veule, brute de décoffrage et le pire, sans imagination.
Ces commentaires n'ont souvent plus grand chose à voir avec les messages qu'ils sont supposés critiquer ou très simplement illustrer tant ils servent à leurs auteurs à parler avant tout d'eux-mêmes en laissant deviner par transparence, même si l'on ne sait rien d'eux, leurs vies, leurs réussites obscures, leurs fiascos avérés et ce, d'une manière parfois pathétique malgré la bile sous-jacente, l'acrimonie qui suinte. Ils sont le plus souvent anonymes, mais depuis le temps, je reconnais, malgré leur nombre, la plupart de leurs auteurs (des hommes en grande majorité) à leurs tournures particulières, leurs tics de langages, leurs injures récurrentes et surtout, à leurs préoccupations les plus obsessionnelles. C'est ainsi que, sachant désormais les démasquer dès les trois premiers mots, je ne les lis plus, fût-ce en diagonale? Je cliquète, je delete et hop ! au rebut.
Ce blog n'existe pas pour servir de déversoir à des ego en déshérence, des psychés racornies, tristes, au bord de la dessiccation.
Ces commentaires n'ont souvent plus grand chose à voir avec les messages qu'ils sont supposés critiquer ou très simplement illustrer tant ils servent à leurs auteurs à parler avant tout d'eux-mêmes en laissant deviner par transparence, même si l'on ne sait rien d'eux, leurs vies, leurs réussites obscures, leurs fiascos avérés et ce, d'une manière parfois pathétique malgré la bile sous-jacente, l'acrimonie qui suinte. Ils sont le plus souvent anonymes, mais depuis le temps, je reconnais, malgré leur nombre, la plupart de leurs auteurs (des hommes en grande majorité) à leurs tournures particulières, leurs tics de langages, leurs injures récurrentes et surtout, à leurs préoccupations les plus obsessionnelles. C'est ainsi que, sachant désormais les démasquer dès les trois premiers mots, je ne les lis plus, fût-ce en diagonale? Je cliquète, je delete et hop ! au rebut.
Ce blog n'existe pas pour servir de déversoir à des ego en déshérence, des psychés racornies, tristes, au bord de la dessiccation.
Euuuh!...nan j'ai rien à dire, c'est juste pour aller faire un tour à la poubelle... ;-)
RépondreSupprimereh bien non, justement !
RépondreSupprimerça y est j'ai pigé !
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