J'ai lu hier soir un cours texte de Duras que Polo m'a rapporté, dans lequel elle parle de "La maladie de la mort", d'une impossible adaptation théâtrale, de la vie qu'elle vivait à ce moment là, de Yann Andrea qui aime tellement les barmen sud américains, et qu'elle a le génie de rendre sympathique en le chargeant de bien des mots... C'est bigrement malin : elle fait œuvre d'écrivain en (d)écrivant l'impossibilité d'écrire. Comme parfois, chez certains et chez d'autres, les écrits de Duras sur ses écrits sont meilleurs que ces écrits eux-mêmes .
Ça s'appelle "La pute de la côte normande", ça fait vingt pages de tout petit format, mais c'est du concentré...
aux Éditions de Minuit
Ça s'appelle "La pute de la côte normande", ça fait vingt pages de tout petit format, mais c'est du concentré...
aux Éditions de Minuit
Rien à voir...
RépondreSupprimerIl m'a écrit un jour...
" Avec tous mes voeux à I la magnifique,et à S que je ne connais pas encore.
La vie de couple n'est pas facile.
Mais quelle paix,quel bonheur,quand tout marche bien.
Le grand amour,n'oubliez pas,ce n'est pas le désir de deux corps jeunes,mais la tendresse,une fleur fanée la fête oubliée,l'inquiétude pour le retard d'un soir,le regard de l'estime pour le conjoint blessé ou malade.
Comme pour les grands vins,il faut vingt ans pour qu'un grand amour fou devienne un fol amour tendre.
A toi I ,de grosses bises et j'en profite pour envoyer aussi de respectueux baisers à "La Jeanne" comme vous dites dans la famille,à la vielle amie de trente ans.
Bonne santé à tous et heureuse vieillesse."