Il faut écouter les deux à la suite. D'abord cette chaconne chromatique qui n'en finit pas de descendre, en boucle, comme une vis sans fin et rappelle (curieusement ou non) l'air du Froid de King Arthur et puis cette cadence bizarre et déstabilisante... et dans la foulée, ce feu d'artifice qui part d'un seul coup, sur les chapeaux de roues. C'est prétendument de la musique religieuse. C'est surtout du théâtre, du grand, du dramatique d'un coté et d'un autre, qui pète la santé de toute part.
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