07 avril, 2011

Frédéric, Lefebvre, Zadig et Voltaire

Je sais, c'est mal de se moquer du physique de quelqu'un. Est-ce plus charitable de rire de sa connerie ?
Bon, c'est vrai, je l'ai entendu comme tout le monde, Frédéric L'orfèvre en la matière, son livre de chevet, c'est, dit-il, Zadig et Voltaire, comme la boutique de sape branchouille crée il y a deux lustres rue Sainte-Croix de la Bretonnerie dans le marais, juste en face du " Point Virgule", café théâtre bien connu.

Bon, en dehors de la cuistrerie réjouissante, ce qui est intéressant, c'est que, lue ou non, l'histoire de Zadig est pour lui une "école de vie"... Il s'y retrouve. C'est pas faux.
Résumons... Zadig est un roman picaresque qui conte les aventures et les mésaventures d'un personnage un peu couillon (comme souvent dans ce genre de récit) qui n'a d'autre projet que de squatter à son profit l'ascenseur social, bien avant qu'il soit inventé...
Zadig devient enfin et c'est là que l'intérêt de Lefebvre pour cette histoire est résolument rigolo, ministre, comme lui mais en plus chic, du Roi de Babylone. Mais il tombe amoureux de la reine Astarté, et connaît l'exil à cause de cet amour... Moi je serai Sarkozy, je me méfierais... Vous me direz que si Lefebvre lisait la "Princesse de Clèves", ce ne serait pas beaucoup plus rassurant...

2 commentaires:

  1. Mort à Crédit Mutuel !
    La MAAF au diable !
    Au moins, on peut se réjouir du jeu potache que ça a créé...
    Les Lais de Marie de France 2 !
    etc...

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  2. Sans compter Lady de Nantes !

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