Bertrand Cantat était programmé en tant que comédien au Festival d'Avignon 2011
Jean-Louis Trintignant l'était aussi en "off".
Le second découvrant la présence du premier décide, on le comprend, de déclarer forfait.
Le premier l'apprenant se désengage à son tour.
Les deux, en dépit du drame qui les oppose, ont également fait preuve d'honneur et de dignité.
J'ai eu, à l'époque de son retour en France, des mots durs vis a vis de Cantat et de certain(e)s comme Muriel Cerf qui faisaient prétendument œuvre littéraire en le défendant en dépit du bon sens.
Mais il faut être juste et Cantat à payé, payé ce qu'on lui demandait. Si ce n'était pas assez, il fallait en son temps faire appel du jugement. Pourquoi faudrait-il désormais l'empêcher de faire la seule chose qu'il sait faire, monter sur scène ?
Il s'agit de fait d'une peine supplémentaire, de surcroît à "perpet", sorte de bannissement du monde artistique, c'est à dire de mort sociale. Cantat a été jugé, a purgé sa peine et n'a bénéficié d'aucun régime de faveur qui lui aurait permis d'être libéré avant l'heure légale.
Empêcher Cantat de travailler (ce qui n'est en aucune manière le but avéré de Trintignant qui, souhaitons le, n'en demande pas tant), c'est un peu revenir sur la chose jugée. C'est dégueulasse.
Quant aux programmateurs avignonnais, in et off réunis, ils ont, c'est évident, le sens du casting...
Jean-Louis Trintignant l'était aussi en "off".
Le second découvrant la présence du premier décide, on le comprend, de déclarer forfait.
Le premier l'apprenant se désengage à son tour.
Les deux, en dépit du drame qui les oppose, ont également fait preuve d'honneur et de dignité.
J'ai eu, à l'époque de son retour en France, des mots durs vis a vis de Cantat et de certain(e)s comme Muriel Cerf qui faisaient prétendument œuvre littéraire en le défendant en dépit du bon sens.
Mais il faut être juste et Cantat à payé, payé ce qu'on lui demandait. Si ce n'était pas assez, il fallait en son temps faire appel du jugement. Pourquoi faudrait-il désormais l'empêcher de faire la seule chose qu'il sait faire, monter sur scène ?
Il s'agit de fait d'une peine supplémentaire, de surcroît à "perpet", sorte de bannissement du monde artistique, c'est à dire de mort sociale. Cantat a été jugé, a purgé sa peine et n'a bénéficié d'aucun régime de faveur qui lui aurait permis d'être libéré avant l'heure légale.
Empêcher Cantat de travailler (ce qui n'est en aucune manière le but avéré de Trintignant qui, souhaitons le, n'en demande pas tant), c'est un peu revenir sur la chose jugée. C'est dégueulasse.
Quant aux programmateurs avignonnais, in et off réunis, ils ont, c'est évident, le sens du casting...
Bien d'accord avec vous.
RépondreSupprimerEt que l'on laisse chacun à sa place, la création aux artistes, le choix des programmations aux programateurs, l'opportunisme aux politiques, et le libre arbitre au public d'assister à une pièce ou pas.