03 mars, 2011

Quatrième jour sans...

sans Alliot-Marie et sans Hortefeux.
Vous vous sentez privés, j'imagine. Privés de leur charisme, de leur courage, de leur engagement et de leur honnête compétence et de leur compétente honnêteté.
Moi, je vais vous dire, avoir sabré sans ménagement, ces deux êtres d'élite, au parcours sans reproche, ces paradigmes vivants du dévouement à la Patrie et de la clairvoyance politique, c'est Mozart qu'on assassine !

S'ils dépriment et se trouvent ravis prématurément à notre respectueuse affection, ce sera la faute aux zarabes. Voilà !

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