15 mars, 2011

Anne Lauvergeon et Nathalie Kosciusko-Morizet. Charles Perrault, nous raconte...

Malgré les précautions, les principes et les normes de sécurité, les centrales nucléaires françaises explosent, un beau jour, les unes après les autres. Anne Lauvergeon qui sait et pour cause comment elles ont été faites, grimpe dans sa tour d'ivoire. Nathalie Kosciusko-Morizet, le trouillomètre aussi secoué que son compteur Geiger, l'interpelle d'en bas.
Perrault nous dit (en gros) la suite :
La sœur Anne monta sur le haut de la tour, et la pauvre affligée lui criait de temps en temps :
-"Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ?"
Et la sœur Anne lui répondait :
-"Je ne vois rien que le soleil qui poudroie, et l'herbe qui verdoie."
-"Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ?"
-"Je vois, répondit la sœur Anne, une grosse poussière qui vient de ce côté-ci. Il est normal de s'inquiéter, mais fustigeons ceux qui "instrumentalisent les peurs" ! Maintenant, ferme-la et viens prendre ton iode ! "

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