C'était sur France-Cul il y a quelques jours, Guy Ribes raconte sa vie de faussaire. C'est une vie de faussaire, ok, "vie de faussaire, vie de misère" serait-on tenté de dire... Il n'y a pas de faussaires géniaux pas plus qu'il n'en est d'heureux. Il n'y a que des experts imbéciles et des acheteurs avides et réciproquement.
Mais avec sa gouaille façon Audiard, il dit des choses étonnantes, des souvenirs.
Il raconte comment sur la plage déserte de Cannes, dans les années soixante, il vit un soir Picasso débarquer de sa "limousine" (sic) et descendre sur le sable pour tracer de sa canne, avant de repartir, des dessins que la mer ou les pas des baigneurs effaceraient bien vite, en ignorant le prix...
Guy Ribes est le seul à les avoir vus.
Picasso ne pensait qu'au fric ? Pas si simple ! comme on dit.
J'aime bien cette histoire.
Mais avec sa gouaille façon Audiard, il dit des choses étonnantes, des souvenirs.
Il raconte comment sur la plage déserte de Cannes, dans les années soixante, il vit un soir Picasso débarquer de sa "limousine" (sic) et descendre sur le sable pour tracer de sa canne, avant de repartir, des dessins que la mer ou les pas des baigneurs effaceraient bien vite, en ignorant le prix...
Guy Ribes est le seul à les avoir vus.
Picasso ne pensait qu'au fric ? Pas si simple ! comme on dit.
J'aime bien cette histoire.
Malheureusement cette hstoire de Picasso à la plage est aussi un faux, c'est une nouvelle de Ray Bradbury; mais racontée par Guy Ribes elle est plus belle encore;
RépondreSupprimerBien ! je vais essayer de trouver a nouvelle de Bradbury.
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