22 janvier, 2011

Robert Combas, fils caché de Meredith Monk et de Francis Cabrel...

Entendu Combas ce matin sur France-Cul, je crois . Il est marrant Combas, il est sympa et sa peinture on aime. Mais voilà-t-y pas qu'il a décidé de réaliser l'un de ses plus vieux rêves : chanter. Pas de problème, comme pour la peinture, tout le monde a le droit, je suis pour !
Ils font entendre deux "chansons", dans le poste. Ça
donne un truc un peu minimaliste, on ne dira pas indigent par gentillesse, une logorrhée à vocation poétique sur un fond vaguement répétitif par un synthétiseur à gaz ou un Midi sous exploité. Le résultat ? une sorte de croisement anémié, terne, chiant, en totale opposition avec sa peinture, entre Meredith Monk pour ce qui serait de la forme, de l'idée et de Cabrel en raison de l'accent méridional quasiment militant. Comme il est rigolo, Combas et que je ne le connais pas, je suis bien emmerdé car infoutu de dire dans cette histoire, s'il est sérieux ou s'il se fend la gueule. En tout cas moi, ça m'éclate, coté rigolade, au bénéfice du doute, bien sûr. Bon, ok, un moment, pas trop non plus...

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