07 décembre, 2010

rien de plus anglais que ça...



la mélodie est extraite de Jupiter de Gustav Holst qui mit lui même sur son oeuvre le poème de Cecil Spring-Rice dont voici la première strophe. Quand les anglais sont patriotes, ça rigole pas...
I vow to thee, my country, all earthly things above,
Entire and whole and perfect, the service of my love;
The love that asks no question, the love that stands the test,
That lays upon the altar the dearest and the best ;
The love that never falters, the love that pays the price,
The love that makes undaunted the final sacrifice.
Cette mélodie est très curieuse car elle n'a pas de fin, on peut la jouer en boucle sans jamais s'en sortir.

Voici la version originale, extraite des "Planètes". C'est ce qu'on appelle de la musique efficace, sans complexe, et superbement orchestrée, "gorgeous" comme ils disent, je dois avouer que j'aime ça.

1 commentaire:

  1. je suis une inconditionnelle of the Planets que j'aimerais bien entendre en vrai , version grandiose

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