"Six jours après son passage au conseil des ministres, la réforme de la garde à vue est déjà remise en cause par la Cour de cassation. Pour la haute juridiction, cette mesure privative de liberté mais banalisée – quelque 800.000 «GAV» en 2009, sous l'effet direct du sarkozysme policier – n'est pas conforme au droit européen."
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