27 septembre, 2010

En arriver là ! mais, que voulez-vous, on s'endurcit.

Ça n'a, bien entendu, aucun rapport avec ce qui précède.
Je vais vous faire un aveu. Ayant été élevé fort chrétiennement, je n'ai jamais et continue de ne pas le faire, souhaité la mort de quiconque, je suis de surcroît et vous vous en doutez, contre la peine de mort. Mais en ces temps de plus en plus durs, où les salauds sont rois et tous les fumiers princes, un nouveau sentiment me tarabuste sans pour autant me culpabiliser. Je ne dirai pas qu'il est "incontournable", mais je m'aperçois que la disparition, naturelle, accidentelle ou autre, de certains et de certaines, sans me réjouir inconsidérément ne me ferait, très honnêtement, de peine aucune... J'ai la sensibilité et l'affect de plus en plus libéral, fallait pas me faire l'article...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire