Pour justifier sa politique, un président en exercice s'en prend à ce que fit, quatorze ans avant sa mort un président remarquable, intelligent, cultivé, élégant, (bizarre aussi, complexe, pas "sans reproches", mais c'est comme ça les gens hors du commun) et mort depuis seize ans. C'est pitoyable. C'est aussi inquiétant. Bientôt, cet homme commun, banal, sans élégance et sans relief, va s'en prendre à Hugues Capet puis à Charlemagne, si ce n'est dans l'autre sens, l' histoire et la chronologie, c'est pas son fort...
L'affliction est notre lot, la honte et la tristesse aussi .
L'affliction est notre lot, la honte et la tristesse aussi .
Quand on est gouverné par un clown...
RépondreSupprimerCe qui est certain, c'est qu'il ne lui arrivera jamais à la cheville.