Bon ! faut quand même en convenir, la principale occupation de l'homme sitôt qu'il est né, c'est de vieillir. Ça l'occupe que c'est pas croyable. Inné, pas besoin de formation, d'apprentissage.... C'est son travail à temps plein, un truc à faire rêver les exploiteurs les plus assoiffés, car même lorsqu'il dort, l'homme travaille, seconde par seconde, à sa sénescence... Tout ça pour vous dire que dans sa vie, l'Homme, il en vit des choses ! et il s'en aperçoit surtout quand il devient un peu vieux.... Ces choses relèvent en grande partie des "relations humaines".
On rencontre des gens ! on a avec eux des relations amoureuses mais aussi, et encore plus nombreuses, des relations amicales. Il y a des va et vient, des gens qu'on croise et avec qui, après des années d'amitié supposée ou patente, on se brouille... En fait, il n'y a même pas de brouille, pas de conflit, pire, juste de la dilution, de la "barrencouille"... Nul ! Dans l'histoire tout le monde est nul, je vais pas chipoter.
Mais une chose est rigolote, c'est , en ce qui me concerne, que ces brouilles définitives contrairement à celles qui dieu merci ne le furent pas, relèvent d'un hiatus social. La brouille est, je l'avoue, toujours de mon fait, même si ce n'est pas moi qui prends l'initiative. Et c'est généralement d'une manière ou d'une autre parce que j'ai rompu un pacte "mondain" ... Je me suis rangé du coté des mal pensant... des fouteurs de merde, quand j'aurais pu continuer non pas à faire croire, je n'ai jamais cherché à faire croire quoi que ce soit, mais à me maintenir dans ce fameux consensus qui plaît tant et dans lequel je marinais sans problème jusqu'à ce que...
Bref, je me suis brouillé !
Au début ça m'a fait mal, parce que j'aimais vraiment ces gens que je ne vois plus. Et puis, le net aidant et ça c'est nouveau, on s'aperçoit au vu de ce qu'ils sont devenus depuis la rupture, qu'en fait, on n'aurait jamais du les surévaluer, (en les surévaluant on cherche à se surévaluer soi-même, c'est évident !) car comme tout un chacun, ils sont, depuis, ce qu'ils étaient avant.... Ainsi cette (ex)-cellente amie qui me racontait un jour, offusquée et je m'en étais offusqué moi aussi qu'on l'avait traitée de cachetonnneuse, se révèle finalement bien que bonne musicienne, ça n'a rien à voir, comme ce qu'elle est vraiment et qu'on lui reprochait alors, une authentique cachetonneuse... Y a pas de lézard, faut bien bouffer ! on n'est en revanche pas obliger de se choquer pour autant ou même de faire semblant...
Je me suis planté sur toute la ligne en ce qui les concerne, mais c'est pas leur faute... c'est pour ma pomme ! Voilà, après la tristesse, l'intense rigolade retrospective. Je suis un incorrigible optimiste...
On rencontre des gens ! on a avec eux des relations amoureuses mais aussi, et encore plus nombreuses, des relations amicales. Il y a des va et vient, des gens qu'on croise et avec qui, après des années d'amitié supposée ou patente, on se brouille... En fait, il n'y a même pas de brouille, pas de conflit, pire, juste de la dilution, de la "barrencouille"... Nul ! Dans l'histoire tout le monde est nul, je vais pas chipoter.
Mais une chose est rigolote, c'est , en ce qui me concerne, que ces brouilles définitives contrairement à celles qui dieu merci ne le furent pas, relèvent d'un hiatus social. La brouille est, je l'avoue, toujours de mon fait, même si ce n'est pas moi qui prends l'initiative. Et c'est généralement d'une manière ou d'une autre parce que j'ai rompu un pacte "mondain" ... Je me suis rangé du coté des mal pensant... des fouteurs de merde, quand j'aurais pu continuer non pas à faire croire, je n'ai jamais cherché à faire croire quoi que ce soit, mais à me maintenir dans ce fameux consensus qui plaît tant et dans lequel je marinais sans problème jusqu'à ce que...
Bref, je me suis brouillé !
Au début ça m'a fait mal, parce que j'aimais vraiment ces gens que je ne vois plus. Et puis, le net aidant et ça c'est nouveau, on s'aperçoit au vu de ce qu'ils sont devenus depuis la rupture, qu'en fait, on n'aurait jamais du les surévaluer, (en les surévaluant on cherche à se surévaluer soi-même, c'est évident !) car comme tout un chacun, ils sont, depuis, ce qu'ils étaient avant.... Ainsi cette (ex)-cellente amie qui me racontait un jour, offusquée et je m'en étais offusqué moi aussi qu'on l'avait traitée de cachetonnneuse, se révèle finalement bien que bonne musicienne, ça n'a rien à voir, comme ce qu'elle est vraiment et qu'on lui reprochait alors, une authentique cachetonneuse... Y a pas de lézard, faut bien bouffer ! on n'est en revanche pas obliger de se choquer pour autant ou même de faire semblant...
Je me suis planté sur toute la ligne en ce qui les concerne, mais c'est pas leur faute... c'est pour ma pomme ! Voilà, après la tristesse, l'intense rigolade retrospective. Je suis un incorrigible optimiste...
Je ne sais pas, je ne crois pas qu'il y ait toujours brouille, PP. Il y a, parfois - et nous en sommes la preuve - des malentendus. Mais quand le lien ( amical, ce fil rouge si ténu et si costaud tambièn) est de qualité, il ne rompt pas. Il ne se distend pas.
RépondreSupprimerJ'emprunte quelques passages de ton article pour AJD'H. ( tu permets ? )
Vieillir est délicieux...j'ai commencé très jeune et je m'en félicite... Il faut savoir savourer le temps qui passe,,prendre garde à la douceur des choses, comprendre la fragilité de l'être... Jouir de l'éphémère... Mais je suis un fumeur de pipe, ça aide...
RépondreSupprimerBah, les ruptures,ça permet d'avancer!Et de voir qui demeure...là, c'est du solide!
*Hors landau
ruptures, HL, ce n'est jamais pareil de chaque coté, à chaque bout du fil : l'un pense que c'est "plus jamais", l'autre que c'est réparrable. C'est alors que les choses deviennent douloureuses.
RépondreSupprimerAimer est à sens unique, on ne peut pas retourner en arrière, on ne peut pas désaimer, même en amitié.