J'ai gamblé tant d'amuches à la fliste cadote
Qu'il m'en groûte un fimot de galèse vautrie
Jamais n'ai ganachi aussi flatte moulote
Que celle du matour où l'on m'éloit fatrie !
Le malutoir au groix, la diche en gardelière
Je blugnais un carceau de fantage hadopit
Mon radougnard d' arcois se tugeait d'hermantière
Quand mon kalah d'ostain fatouillait mon arpit...
Dans la mirce agopiante, je me palteurirai.
Un ditillant fragon de buyots sorberai
En me topatissant d'une flaune gripaille
Et je timorerai sans paillot ni misonne
Le qualifal Orquant qui, d'astille, bagonne
Les soutieux jamaillins que lixe la turaille !
.
rien a voir mais pas grave
RépondreSupprimerje suis diablement sujète aux trous de mémoires; particulièrement dans les salons.
Je sais pourtant parler des heures et des heures non stop mais, dès qu'il s'agit de mondaniser,( invitation à diner dans l'argenterie, pinces cul, réunion de boulot..), j'ai des trous. des foultitudes de trous de mots, des absences.
Paf au milieu d'une phrase, un mot disparait. je le sens rejoindre le reste de ma soupe cosmique interne pour s'y expliquer. De quoi? , j'en sais rien mais je sais que ça va discuter sec.
Comme nul ne sait quand le conciliabule cessera, nul ne sait quand le mot remontera en surface. Nul se sait quand je pourrai reprendre le fil de la conversation. Peut être bien jamais. mais est-ce vraiment grave?
le mot a laissé place à un trou de mémoire. Un trou avec plein de mots autour.
+ info importante: tous les soirs , un type à velo descend la rue des amandiers en bêlant ( version mouton) . Nous sommes plusieurs maintenant à l'acclamer sur son passage( en bêlant aussi) . Venez nous rejoindre , ça fait vachement de bien que de bêler, un bon coup, ensemble.
Trop, trop, trop EXCELLENT
RépondreSupprimerA haute voix - et les voisins n'y comprennent rien de toutes façons, ils ne parlent pas francais non plus, donc .... doublement drôle
Bon, ça y est, j'ai le virus moi aussi
Lesa, ma blugne !
RépondreSupprimerNe sois pas inquiète. Ces absences sont le fruit d'une fatigue, d'une lassitude conjoncturelle. Elle apparaissent de préférence, les salopes, en milieu un peu hostile ou ressenti comme tel... Elles sont aussi, je pense, des résurgences d'antiques manifestations d'émotivité, quand ce ne sont pas, dans mon cas, de sournoises tentatives de vieux troubles obsessionnels compulsifs...
Bref, un joyeux principe régressif...
Enfin, moi, ce que j'en dis, je suis pas psy... Mais tout de même...
merci merci cher PP me voila vraiment mieux soudainement.
RépondreSupprimerregressons de concert alors.. moi j'aime bien. j'ai compris le mot perdu est parti se taper une belotte avec les neurones en fiesta.