tenez, mes mots aimés d'aujourd'hui sont :
- boulingrins
- catalpa
- céladon
- galuchat
- marquise - bow-window - véranda
- chintz
- terracotta
- organdi
- anthracite
- majolique
- chartreuse
- cadavre-exquis
- girolle
- flanelle
- hibiscus
- villégiature
- cabriolet
ah j'avais oublié un adjectif, le seul : épatant
qu'ils en profitent ! y en a plein derrière qui attendent !
Girolle, au menu de ce soir. Que dis-je, girolles :)
RépondreSupprimereffectivement, une girolle pour deux, ça crie misère !
RépondreSupprimerSurtout qu'en fait ce furent des cèpes. Les girolles seront pour demain ou après-demain :)
RépondreSupprimerho,les gourmets, dites donc ! Et comment, servies, les girolles ? à ma manière, sautées et persillade ? ou bien à la crème ?
RépondreSupprimerPuis, le vin ???
Je vous laisse ce que j'ai écrit chez orlando :
RépondreSupprimerJe suis tout à fait d'accord avec vous ! Mais je considère que le beau doit se partager, et pour partager il faut déjà nommer non ? Mais vous avez raison, le nom est une dorure, il peut trop servir par lui-même à qualifier une œuvre de géniale ou minable. Le seul nom peut faire naitre une armée de thuriféraires, de gardiens idiots et acharnés. Le beau n'a pas besoin de nom, il existe par lui-même. Et j'évoquais ailleurs ce qui me chagrinait dans la modernité canonisée par orlando : l'oeuvre est dispensable, elle n'existe que par le discours du prétendu artiste qui l'habille. Voilà.
horripilant gazetier, je vous trouve ici l'humeur bien badine!aRa
RépondreSupprimerSautées, avec quelques oeufs battus, Lise :)
RépondreSupprimer