21 avril, 2009

Parisot ! j'adooooooore !

Ah, Parisot, que je l'aime ! Que j'aime ses analyses si fines dès l'aube. Ce matin, elle s'élève contre les rétentions de patrons par leurs salariés. Elle comprend la détresse, Parisot, elle comprend tout, sauf la violence, même que ces histoires ça n'a rien à voir avec la crise et la misère, c'est des histoires de mecs qui profitent de l'occas' pour montrer qu'ils ont la plus grosse ! Et que s'il y avait plus de femmes dans le circuit, y aurait moins de violence(s) ! C'est vrai, Parisot, c'est la douceur faite femme, même qu'on a envie d'en voir des centaines comme elles dans les entreprises et les syndicats... au super-marché on rêverait de l'avoir comme caissière, dans la rue comme contractuelle, à l'hosto comme infirmière, au couvent comme soeur tourière... Tiens, même chez soi, Parisot on la voudrait, comme mère, comme soeur et tout pédé/goudou qu'on est, tiens, comme conjointe légitime ou non ! ok, comme maîtresse, on verra ! Parisot c'est la Florence Naghtingale des entreprises françaises, la Mère Thérésa du CacaRente ! Du miel, du sucre, que du bonheur !

3 commentaires:

  1. Tu en fais des choses le matin entre tes tartines, Bernard et Laurence !

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  2. Oui ! Malgré les apparences, je suis un mec comme Napoléon ! je peux faire au moins trois choses en même temps !

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  3. riskofil9:40 AM

    Moi je l'aime bien, la Parisot. L'innocence même, elle tombe des nues en permanence. Les patrons-voyous ? Quelques brebis égarées. La caisse noire de l'UIMM ? Je n'étais pas au courant. Les parachutes dorés ? Quelques cas honteux.

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