Tout le monde admire le cygne gracieux, hautain, majestueux ! Saint-Saëns pleura sa mort, Plissetskaïa, Janine Charat, Margot Fonteyn et bien d'autres la dansèrent. Wagner le mit en scène, le lohengrinisa, Ludwig II le chérit et en fit son totem... Moi, je regrette que Chaval, dans son ouvrage majeur "Les oiseaux sont des cons", ait choisi à sa place comme emblème volatile de l'imbécilité une sorte de corbeau.Déjà au moyen-âge on a compris qui c'est. " Nunc in scutella jaceo et volitare nequeo" chante dans son latin de cuisine le cygne des Carmina Burana, pompeux, rôti et offusqué de ce qui lui arrive .
Ça fait des mois que j'observe ces palmipèdes ineptes, antipathiques, gloutons bien qu' immangeables, hautains et fort teigneux. Je guettais cet instant ... Enfin aujourd'hui j'en ai saisi un dans ses oeuvres... Le cygne, et c'est courant, qui fait le culbuto...
Plus le singe monte haut, plus il montre son derrière, qu'i disait. Plus le cygne a le cou long et majestueux, plus il montre vite ses fesses !
RépondreSupprimerCher pp
RépondreSupprimerje vous imagine paparazzi des jardins à l'anglaise, planqué derrière un séquoia ou une gloriette, à l'affut de ce cliché qui enfin dévoile au grand jour l'imposture palmipède pétentieux et mal embouché . Vive le mignon petit canard bouton d'or et sans façon! Maintenant, à quand des photo compromettantes de Blanche neige et des sept nains? De Cendrillon sniffant de la coc et de la petite sirène écaillée? je connais des revue (rayon presse 3-7ans) qui seraient prêtes à vous payer très cher pour qu'elles ne parraissent jamais.
bises
angevine
Ah ! vous ne savez pas ce que vous provoquez... à propos des nains, de jardins, bien sûr, je vous ferai très bientôt (le temps de transférer des images) des révélations d'importance !
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